Chapitre 6 - 2
Ah, oui… les photos... Éric... pourquoi... Pourquoi tu as fais ça !
Je pose la question mais je ne lâche pas ma proie sous ma langue tout en le regardant avec inquiétude.
— Maman, tu es si belle, tu as un corps magnifique, et tu es probablement la plus chaude... euh, la femme la plus belle du pays... J’ai juste pensé que... que peut-être d’autres gens devrait le voir.
Comment réagir ? Je l’aime et je suis folle de sa bite ! Que je remets dans ma bouche bien profondément.
— Tu aurais pû me demander avant de faire quoi que ce soit.
Le petit salaud… Il frotte ses doigts sur mon trou du cul. Ooh, je dois le garder serré et bien fermé. Il ne doit pas savoir que j’adore me tripoter l'anus.
Il glisse son doigt sur ma chatte humide et encore dégoulinante, le mouille et le repose sur ma rosette pour la graisser de mon jus.
— Je sais maman, mais... eux ils ont beaucoup aimé… ils ont adoré les photos de toi.
À ce moment, je sens son doigt qui appui sur le milieu de ma rosette qui s’ouvre sans mon autorisation et son doigt glisse dedans.
Oooh, mon Dieu…comment puis-je laisser mon fils me doigter le cul ? Mais là encore c’est la salope qui pense car je m’attendais à cela, c’est pour cette raison que je me suis assise dans cette position... avec mon cul vers le haut. Apres tout, je lui ai dis qu’il pouvait tout me fair alors je ne vais pas m’offusquer pour un doigt dans le cul !
Je lève les yeux vers lui. Il me regarde, jugeant ma réaction, essayant de voir si j’allais l’arrêter de violer mon cul. Doux Jésus, s’il savait... il ne sait pas que j’aime en avoir plein dans le cul...
Je suis une pute des pute, la pétasse de mon fils.
Il fait aller son doigt dans mon conduit anal. Il baise mon cul de son doigt.
J’aspire son gland et il pousse sa bite dans ma bouche et je commence à le sucer tout en le branlant d’une main.
— Maman…oooh, maman ! Oooooh ils aimeraient bien prendre des photos de toi. C’est des professionnels et ils devraient faire de superbes photos avec une meuf comme toi.
Je sens un autre doigt se poser sur ma corolle. Pas question!!! Il ne va pas en mettre un de plus ? Pas mon fils!!!
— Eric, je ne peux pas, c’est trop dangereux. Nos rapports doivent rester secrets.
Oh le saligaud ! Son doigt pousse un peu sur mon anneau qui s’ouvre un peu plus et lentement peu à peu jusqu’à ce que... bim voilà !
J’ai deux des doigts de mon fils dans mon trou de cul.
Oh mon Dieu un peu de douleur. Non, aucune douleur plus comme de l’inconfort.
Je suis quand même un peu tendue car mon trou de cul est fouillé comme jamais je l’ai fais moi-même.
— Maman dis oui stp. Je leurs ai dis que tu seras probablement d’accord. C’est juste des photos d’une superbe femme en mini bikini.
Je ne l’écoute presque pas car je suis polarisée sur mon trou de cul qui commence à apprécier les doigts qui le fouille et qui vont et viennent lui procurant des sensations inédites. Tellement fortes que je suis prête pour un nouvel orgasme.
— Éric... aaah... Nooon... Uuhhhmmmm...Je ne peux pas... Oh mon Dieu ! Si ton père nous surprenait… Oh, ouiii ce serait la fin de mon mariage.
Je me remets néanmoins à sucer la bite de mon fils pour le faire jouir. Tout à coup il retire ses doigts ! Quel sentiment de vide...Je veux ses doigts!
— Eric non s’il te plaît remets-les dans mon cul.
Je lui dis cela comme une mendiante affamée qui fait la mendicité.
— Alors dis-moi que tu es d’accord pour aller te faire prendre en photo.
J’ai tant besoin de jouir et envie de sperme que j'ai dû accepter sa demande sans réfléchir.
— Ok c'est confirmé mon bébé je le ferai mais juste en bikini et s’il te plaît remets tes doigts.
Il glisse ses deux doigts humides dans mon cul. Ils sont rentrés avec facilité, mon trou de cul entrouvert les attendait.
Oh que c’est bon ! J’adore cette sensation différente de celle que j’ai quand il fouille ma chatte. Et en plus, le fait de savoir que c’est mon fils qui me fait ça, je crois que ça amplifie mon excitation malsaine. Je colle bien mon cul sur ses doigts et je lui suce frénétiquement sa bite ! Il me rend folle quand il les enfonce le plus loin qu’il peut et qu’il les retire pour recommencer et m’éperonner ainsi mon trou de cul en feu.
Je l’entends gémir et je sens qu’il s’apprête à jouir. Je comprime la base de son nœud et je suce et aspire son gland. Sa bite gonfle dans ma main et je desserre mes doigts. Un geyser de sperme jailli de sa bite et rempli ma bouche assoiffée pendant que je mon corps est secoué par un violant orgasme.
Après ce feu d’artifice de spasmes dans nos corps respectifs, je me suis effondrée sur le canapé et ses doigts ont glissé hors de mon cul. Je regarde l’horloge et je vois 1h du matin ! Sacrilège...
Mon Dieu, on vient de baiser pendant plus de deux heures !
Je me lève et je ramasse mes vêtements.
— Éric, il est grand temps de se coucher avant que nous soyons pris en flagrant délit d’inceste. Ne tentons pas le diable !
Nous faire prendre ? Un sentiment de culpabilité passe dans ma tête… J’ai fais tellement de choses ce soir dont certaines assez sales et interdites.
Mais ce sentiment est vite chassé par la salope qui est en moi et qui me dit «Tu as encore beaucoup de chose à découvrir et surement, encore plus dégueulasse que ce soir mais plus excitante ».
Pourquoi ces pensées obscènes quand je passe devant la porte de la chambre de ma fille ?
