Bibliothèque
Français
Chapitres
Paramètres

Chapitre 7

Après ce petit « apéritif », nous sommes allés manger dans un restaurant non loin de chez Jenny. Elle a changé de robe, la rouge ayant sans doute trop souffert de la chevauchée de Julien et je soupçonne aussi que du sperme soit tombé dessus. A la place, elle a revêtu une robe noire un poil plus longue que la précédente, ses jambes cette fois-ci gainées de bas noirs transparents. Son dos, en partie nu, laissant apparaître une attache de soutien-gorge, il semble donc que, cette fois, elle ait mis des sous-vêtements. Le repas est très sympa et convivial, on parle et rigole tous les trois comme si nous étions des amis de longue date. Je découvre une Jenny que je ne connaissais pas, adorable, drôle, enjouée, et je pense que c’est ça, la vraie Jenny. Au boulot, elle est dans un autre rôle, mais ayant passé plus de trois ans à la côtoyer exclusivement au travail, ça fait bizarre de la voir ainsi. Je savais au fond de moi qu’elle n’était pas aussi désagréable qu’elle peut le laisser paraître et je suis content de ne pas m’être trompé.

Le repas fini, nous reprenons la direction de chez elle, mais sans monter cette fois.

— Suis-moi avec ta voiture, me lance-t-elle.

Je monte dans ma voiture et la suis, Julien étant monté avec elle. Nous roulons un petit moment pour finir par arriver dans une petite ville voisine. Il est presque 23h et les rues sont désertes. On finit par se garer devant un magasin qui s’avère être un centre de bien-être et d’esthétique, centre qui, vu l’heure tardive, est bien entendu fermé. Je connais bien cet endroit pour y avoir souvent emmené une ex qui y passait sa vie - et son argent - et vu qu’ils font aussi des soins pour les hommes, elle m’avait tanné pour que j’y aille pour me faire épiler toute la zone intime. J’ai jamais voulu, préférant garder mes poils et me contentant de passer un coup de tondeuse de temps à autre quand ça devient vraiment trop fourni. Bref, que faisons-nous ici ?

Jenny se dirige vers une porte sur le côté de la vitrine et sonne. Une voix lance :

— Oui ?

— C’est Jenny !! répond-elle d’une voix chantante.

La porte s’ouvre et nous rentrons dans un couloir éclairé uniquement grâce à un bloc lumineux d’évacuation d’urgence. Nous marchons quelques pas jusqu’à ce que Jenny ouvre une porte qui donne directement sur l’accueil du salon. Ce dernier est éclairé d’une petite lumière tamisée qui vient de derrière le comptoir à quelques mètres de là. Une fois la porte et le verrou de celle-ci refermés, Jenny se met à l’aise en enlevant la petite veste qu’elle porte et en posant son sac dessus. Julien, quant à lui, ne prend même pas le temps de faire de même et s’éclipse par une porte au fond du salon, ce qui fait doucement rire Jenny.

— Qu’est-ce qu’on fait ici ? Lui demandai-je.

Elle me sourit avant de prendre ma main :

— Viens avec moi !

Nous marchons alors dans la direction que Julien a pris quelques secondes auparavant. Une fois la porte ouverte nous débouchons dans un couloir bordé de part et d’autre de box qui servent sans doute pour les soins. Certains d’entre eux sont fermés et on peut clairement deviner qu’ils ne sont pas vides, des gémissements et autres bruits venant résonner dans le silence apparent de l’endroit. Nous marchons jusqu’à arriver tout au bout du couloir et rentrons dans le dernier box. Une table de massage, une chaise ainsi qu’un petit meuble à roulettes, voilà les seuls objets meublant ce box qui est plutôt exigu. On peut entendre de petits rires et gémissements venant de l’autre côté de la fine cloison qui nous sépare du box attenant.

Jenny se met face à moi et commence à me déshabiller. Elle enlève mon pull qui représente la seule couche que je porte en haut, puis déboutonne mon pantalon et le fait descendre, ainsi que mon boxer. Elle prend la chaise, s’assoit face à moi et prend mon sexe encore mou pour le mettre dans sa bouche. Elle est très appliquée et très lente dans ses gestes. Je ne mets pas longtemps à bander et elle continue à me sucer quelques instants puis se relève, met la chaise de côté et pousse la petite commode qui cache derrière elle un trou d’une vingtaine de centimètres de diamètre fait dans la cloison. Jenny me regarde avec un petit sourire et reprend la direction du couloir. Elle se retourne avant de sortir :

— Tape trois coups quand tu seras sur le point de craquer, me dit-elle en m’adressant un clin d’œil avant de disparaître.

En regardant de nouveau le trou, je peux voir qu’il y a de l’agitation derrière, quand soudain, des lèvres toutes fines font leur apparition, lèvres desquelles finit par s’échapper une langue ornée d’un piercing. Je m’approche, la queue en main, et fait entrer en contact mon gland avec cette langue. Un gémissement s’échappe de la bouche alors que la langue commence à me lécher. Afin de faciliter les choses, je m’avance encore jusqu’à me retrouver collé à la cloison, la queue et les couilles de l’autre côté. Je sens immédiatement ma bite engloutie par une bouche bien chaude, la sensation du piercing massant mon gland est géniale ! Pendant que cette bouche va et vient sur ma queue, une main me masse délicatement les couilles, les faisant rouler l’une contre l’autre ; puis, je sens une autre bouche venir les lécher puis les gober. Elles sont donc deux derrière cette cloison, et si je sais que ce n’est pas Jenny qui me suce car elle n’a pas de piercing, peut-être est-ce l’autre ? Ma queue quitte la bouche en train de me sucer, puis une autre prend le relais.

Cette fois-ci, pas de piercing, les lèvres semblent être beaucoup plus grosses que la précédente bouche et les mouvements sont plus soigneux et plus appliqués, sa langue joue avec mon gland, appuyant sur le frein tout en me branlant de ses belles lèvres. Cela aurait pu être Jenny par sa manière de sucer, mais les lèvres ne correspondent pas. Je sens la langue au piercing venir me lécher à son tour.

La sensation d’être collé contre une cloison dure et froide sans pouvoir faire quoi que ce soit de ses mains et de ne pouvoir voir qui s’occupe de moi est très frustrante, mais, malgré tout, j’y prends beaucoup de plaisir, les deux bouches qui s’affairent sur mon sexe le font très consciencieusement et avec beaucoup de plaisir si j’en juge aux gémissements gourmands qu’elles lancent. Deux bouches bien différentes d’ailleurs, je pense que celle au piercing doit être plus jeune et fougueuse, sans doute moins expérimentée, alors que la seconde est beaucoup plus posée mais n’en demeure pas moins très efficace ! Je me décide à fermer les yeux plutôt que de fixer la cloison afin de me concentrer sur les bruits que je peux entendre et les sensations que j’éprouve. On peut d’ailleurs deviner, venant d’un autre box plus éloigné, qu’une belle partie de baise est en cours, si j’en juge par les gémissements bruyants et les bruits de peaux qui claquent l’une contre l’autre.

Il me semble reconnaître les complaintes de Jenny, mais c’est difficile de juger. Pendant ce temps, la bouche que je devine expérimentée continue à me sucer alors que l’autre langue arrête de me lécher. Puis, ma queue quitte la bouche et une main vient la remplacer, tirant la peau de mon sexe vers l’arrière et la maintenant immobile. Je sens alors une sensation chaude et humide entourer mon gland, puis se propager à toute ma queue, la main qui la tient l’ayant lâché. Un long gémissement se fait entendre et je sens quelque chose venir appuyer sur la cloison. Je prends l’une d’elles en levrette, la plus jeune si j’en juge par le fait que son vagin est bien serré autour de ma queue. Elle commence les va-et-vient, se contentant de la première moitié de ma bite par des mouvements courts mais rapides. Ses gémissements étouffés trahissent le fait qu’elle a la bouche prise, je l’imagine bien en train d’embrasser ou de sucer les seins de sa copine. Cette pénétration est délicieuse, bien que dangereuse, car l’étroitesse de sa chatte est de nature à faire beaucoup plus vite monter la pression, et je ne veux pas craquer, je veux donner l’occasion à l’autre d’en profiter aussi.

Je tente donc de garder mon calme, aidé en cela par le fait que je ne vois rien, ce qui me permet de me contrôler plus efficacement, et ce malgré les gémissements venant de l’autre côté de la cloison. La pénétration continue, cette fois sur toute la longueur de ma queue, mais sa chatte m’enserre moins, elle commence sans doute à se détendre. Puis, ma queue quitte ce cocon chaud et humide, remplacé quasi instantanément par l’autre bouche qui prend le relais beaucoup plus doucement et calmement. Elle s’arrête de me sucer pour me branler lentement en me massant doucement à la base de la bite. Elle a dû sentir en me prenant en bouche que je suis très tendu et elle fait tranquillement redescendre mon excitation. Là, plus de doute, elle a clairement plus de métier que sa petite protégée !! Elle continue comme ça quelques instants, puis je peux l’entendre se lever et sentir mon gland passer entre deux lèvres humides avant de venir frotter sur un petit tapis de poils.

Les lèvres de sa chatte semblent aussi charnues que celles de sa bouche, et elles entourent délicieusement mon gland avant qu’il ne vienne se faire doucement gratter par les poils de son pubis. Le contraste de cette sensation mêlant douceur et légère rugosité est délicieux, je m’en mords les lèvres de contentement. Je peux la sentir lever une de ses jambes et la poser plus haut, puis ma queue la pénètre, d’abord une petite partie, puis entièrement lorsqu’elle trouve la bonne position, que je devine être assez acrobatique. Ma queue est entourée d’une chatte moelleuse, bien différente de la précédente qui était beaucoup plus serrée ; elle fait des va-et-vient lents en ondulant ses hanches légèrement, c’est un régal !!

Puis, une petite voix s’élève :

— J’ai envie de la sucer s’il te plaît !!

Ma bite quitte alors la chatte pour être remplacée par la bouche au piercing. Elle me pompe la bite avec vigueur tout en usant de son piercing pour appuyer ses caresses. Puis elle se met à me branler avec rythme en me donnant de petits coups de langue. Je sens alors la deuxième bouche rejoindre la première, l’une s’occupant de suçoter mon gland pendant que l’autre lèche le reste de mon sexe, c’est divin, j’aurais bien voulu pouvoir admirer ça !! La plus jeune continuant à s’occuper de ma bite, l’autre lui dit :

— Tiens, mets là moi !!

Elle retire sa bouche, crache sur ma bite avant de me branler un peu pour ensuite l’immobiliser. Je peux sentir mon gland bien gonflé qui force pour la pénétrer, je sens bien qu’elle veut que je lui prenne le cul mais son petit trou ne semble pas décider à me laisser la prendre. Je me fais branler quand je sens une sorte de liquide me couler sur le sexe. C’est sans doute du lubrifiant car une fois que la main se remet à me branler, elle glisse parfaitement entre ses doigts. Après que ma bite fut bien recouverte, mon gland appuie de nouveau sur son petit trou, que je le sens s’ouvrir petit à petit pour finir par se dilater et accueillir ma queue entièrement. Elle pousse un long et bruyant gémissement en sentant mon sexe prendre place en elle. Puis elle colle son cul à la cloison. J’aurais voulu agripper ses fesses mais je ne peux que me contenter de la sodomiser. Son cul collé à la cloison, je peux voir son anus enserrer ma queue qui va et vient. Elle pousse de petits cris à mesure que ma bite visite son cul, les bruits de claquement de peau remplacés par les chocs et les vibrations de la cloison en bois à chacun de mes coups de reins.

Entre deux gémissements, la personne à qui appartient le cul que je suis en train de pilonner chuchote à l’autre :

— Bouffe-moi la chatte, vas-y !!

Elle s’exécute et elle se met à gémir de plus en plus fort. Je pose mes mains sur la table de massage derrière moi et me mets à accentuer cette profonde sodomie, elle se met alors à crier de plus belle, la cloison tremble de plus en plus sous mes coups de butoir, je suis sur le point de jouir, et je me souviens alors de ce que m’a dit Jenny avant de me laisser :

— Tape trois coups quand tu seras sur le point de craquer

Comme je peux, d’une main et tout en continuant à l’enculer, je tape à trois reprises à la cloison.

— Oui, vas-y, lâche-toi dans mon cul !!! crie-t-elle

Je ferme alors les yeux tout en laissant s’échapper un long et fort gémissement alors que je jouis dans son cul. Elle crie de contentement en sentant mon foutre chaud se déverser en elle. Elle ondule son cul quelques instants en gémissant plus doucement, puis elle retire ma bite de son cul pour venir me la lécher langoureusement. La seconde langue vient aussi se joindre à la fête et toutes deux me lèchent la bite, la nettoyant de toute coulée de sperme qu’il peut rester.

Puis elles la lâchent et au bruit que je peux entendre, j’imagine qu’elles doivent s’embrasser. Je m’appuie alors sur la table, reprenant mes esprits. Ma bite est bien rouge et encore tendue de cette puissante jouissance, je ne pensais d’ailleurs pas en avoir encore autant à donner malgré l’éjaculation de début de soirée avec Jenny. Je m’assois sur la chaise quelques instants, histoire de me détendre tranquillement. De l’autre côté de la cloison, je peux entendre les deux coquines en train de quitter le box et marcher à pas de loup dans le couloir. Ma bite est à présent en train de bien se ramollir, je la prends entre mes doigts pour doucement la caresser, elle est encore moite de salive et je ne peux m’empêcher de m’en lécher les doigts.

Téléchargez l'application maintenant pour recevoir la récompense
Scannez le code QR pour télécharger l'application Hinovel.