Chapitre 3

De retour chez moi, je me précipite sur mon pc et ouvre ma boîte mail. Je télécharge le dossier et l’ouvre. Il y a des dizaines et des dizaines de vidéos et de photos où elle est dans toutes les positions et situations imaginables. Il y a même une vidéo où elle se fait prendre par quatre mecs. Double pénétration, double bite dans la bouche (comment diable peut-elle en caler deux dans une si petite bouche ??), arrosée de sperme, dans le cul, la chatte, la bouche... Bordel, je vais la regarder différemment à présent ! Je transfère le tout sur une clé USB et la met dans ma poche. Je décide d’attaquer dès le lendemain.

Arrivé au travail, je fais mine de prendre du retard dans mon boulot histoire de justifier le fait que je doive rester plus tard. Le dernier de mes collègues part et je me retrouve alors seul dans l’open-space. Jenny est dans son bureau. J’ouvre alors un mail où je ne mets rien d’autres que quelques unes des photos d’elle que j’ai en ma possession, dont celle qu’elle a prise depuis le bureau où elle est en ce moment même, puis je clique sur envoyer.

Soudain, sa porte s’ouvre brusquement. Elle reste dans l’encadrement à me fixer, l’air quelque peu perturbé. Je relève négligemment la tête de mon écran et dit :

— Oui ? Un souci Jenny ?

— Dans mon bureau, tout de suite ! Me crie-t-elle en continuant à me fixer.

Je me lève et me dirige d’un pas tranquille vers son bureau, je la frôle en rentrant, sans même la regarder alors qu’elle-même ne me lâche pas du regard. Avant de refermer la porte, elle s’assure que l’open-space soit vide, puis revient s’asseoir, toujours en me fixant.

— C’est cet enfoiré de Julien qui t’a filé ces photos, c’est ça ? Me demande-t-elle l’air faussement calme.

En guise de réponse, je lui adresse un grand sourire.

— D’où tu le connais ?

— Oh, c’est un vieux pote de l’époque du lycée, on s’est recroisé totalement par hasard le jour où il est venu ici et que vous vous êtes engueulés.

— Quelle coïncidence !! Et il t’a dit quoi d’autres ?

— De vieux souvenirs du lycée et...

Elle me coupe alors net :

— Me prend pas pour une conne, je m’en tape de vos souvenirs de lycée, il t’a dit quoi sur moi ??

Je fais en sorte de rester calme, même si je bous d’excitation intérieurement.

— Ben disons que tu caches bien ton jeu Jenny. Et je veux aussi te dire que tu es très photogénique et que tu passes très bien en vidéo !

Ça se voit qu’elle aussi fulmine intérieurement, mais de rage cette fois !

— Écoute-moi bien petit merdeux, je sais pas quelle idée vous avez derrière la tête tous les deux mais crois-moi, je suis pas le genre de personnes à qui on la fait à l’envers donc...

Cette fois-ci, c’est moi qui la coupe.

— Oh, et il m’a aussi donné les coordonnées de tes parents !

Elle s’arrête net. J’ai touché la corde sensible et ça se voit, même si elle tente de garder son calme. Elle se penche lentement vers moi, appuyant ses mains sur son bureau comme si elle était prête à bondir pour me sauter à la gorge.

— Tu leur as envoyé quelque chose ? Me demande-t-elle en me fixant cette fois-ci d’un regard noir.

— Non, du moins pas encore.

Elle se détend alors un peu, s’appuie le dos contre le dossier de sa chaise et me dit :

— Et je suppose que tu as des exigences pour garder le silence. Alors, tu veux quoi ? Une augmentation ? Une promotion ?

Je fais mine de réfléchir.

— Hummm, une augmentation, pourquoi pas après tout... Mais non tout compte fait !

— Alors quoi !! dit-elle brusquement avec une pointe d’agacement.

Je me lève de ma chaise, fais le tour du bureau, me plante devant elle et tout en baissant la fermeture éclair de mon pantalon, je lui dis :

— On va déjà commencer par une petite pipe, il paraît que tu es très douée pour ça !!

Elle me regarde complètement décontenancée alors que je lui sors ma bite encore à moitié molle sous le nez. La situation était complètement irréelle, j’ai la bite à l’air devant ma patronne !!!

— Espèce de sale pervers ... me lance-t-elle avec le même regard noir ;

— Niveau perversité, je pense que j’ai encore du boulot pour t’arriver à la cheville ma belle ! Lui dis-je en m’approchant encore d’un pas vers elle.

Elle est toujours assise sur sa chaise, face à moi, et ma queue est à présent à quelques centimètres de son visage. Elle descend son regard vers ma bite, puis le remonte vers moi.

— Très bien...

Elle détache alors ses cheveux et enlève ses lunettes.

— Non, garde tes lunettes, ça t’a toujours donné un bel air de chienne je trouve !!

Elle les replace sur son nez en soupirant et, tout en me regardant, vient me prendre la bite pour l’enfourner dans sa bouche. Elle se met à me sucer lentement tout en aspirant ma queue à chaque va-et-vient pour bien me faire durcir, ce qui ne prend pas longtemps, ma bite devient très rapidement bien dure et emplit complètement sa bouche. Sa langue parcourt mon sexe et s’attarde régulièrement sur mon gland qu’elle suçote d’une manière délicieuse. C’est vrai qu’elle est douée, elle sait s’y prendre !! Elle retire ma bite de sa bouche et, tout en continuant à me branler, vient me lécher les couilles en les aspirant une par une, puis les deux en même temps. Hummmmm, quel délice... Elle se remet à me sucer, cette fois plus vigoureusement. Elle n’a que mon gland en bouche et me branle énergiquement. Cette pipe est délicieuse, mais j’en veux plus...

— Relève toi, lui dis-je en retirant mon sexe trempé et bouillant de sa bouche.

Je m’assois alors sur son siège, me tourne vers elle, et lui dit :

— Tu vas me faire un petit strip-tease maintenant !

— Et puis quoi encore, rêve !! me dit-elle en haussant le ton ;

— Tutututut... lui dis-je en lui montrant son écran sur lequel sont toujours affichées ses photos.

Elle siffle de colère mais se plie néanmoins à ma demande.

— Et mets-y du cœur ma belle, lui dis-je en prenant ma bite en main pour me branler.

Elle se met alors à onduler ses hanches tout en déboutonnant lentement le petit chemisier qu’elle porte. Son soutien-gorge, noir avec de belles broderies rouge, remonte parfaitement ses beaux seins. On peut distinguer ses tétons à travers la fine lingerie, ses beaux cheveux détachés venant régulièrement sur le devant de son visage lorsqu’elle bouge sa tête ; cela accentue encore plus son côté chienne qui m’excite tant, d’autant qu’elle me regarde droit dans les yeux. Ses mouvements sont très envoûtant, elle bouge merveilleusement bien !!

Une fois son chemisier à terre, elle commence à déboutonner son pantalon, puis fait descendre très lentement la fermeture éclair tout en bougeant délicieusement ses hanches. Un beau tanga en dentelle s’offre à mon regard, rouge avec broderies noires cette fois-ci. De la mouille continue à sortir de ma bite qui est dure à souhait à la vue de ce spectacle magnifique.

Elle se retourne et cambre légèrement son petit cul, tout en descendant lentement son pantalon. Son tanga qui lui descend à mi- fesse lui fait un cul de toute beauté. On voit là tout le bénéfice du sport qu’elle fait, son cul est à croquer !! Elle retire complètement son pantalon, elle est magnifique, un corps superbe !! Toujours en lingerie, elle s’approche de moi et s’accroupit devant la chaise. Elle ôte mes chaussures ainsi que mon pantalon et mon boxer et, sans même attendre que je le lui demande, elle enfourne ma bite entièrement dans sa bouche. Julien a raison, ce petit « jeu » commence à l’exciter ! Elle me suce alors délicieusement, je n’entends que le bruit de succions, ses cheveux cachant son visage. A plusieurs reprises, elle vient coller ses lèvres à la base de mon pubis, et je peux alors sentir mon gland appuyer au fond de sa gorge, sans que cela n’ait l’air de la gêner. Elle a une belle expérience des gorges profondes !! Puis elle relève son visage et me fixe à travers ses cheveux. Tout en continuant à me branler vigoureusement, elle me dit avec un petit sourire:

— Alors, ça convient à monsieur ?

— C’est un bon début, dis-je tout en enlevant ma chemise.