Chapitre 18 Défier Gustave Brousseau !

De nombreux membres de la famille Brousseau, en tant que spectateurs, étaient également remplis d'indignation. Dans la famille Brousseau, Gustave était comme un dieu, et personne n'osait pas défier la majesté de Gustave. Mais aujourd'hui, un gendre qui vivait dans la famille de sa femme a osé appeler Gustave par son nom complet et lui a provoqué. Les membres de la famille de Brousseau ne pouvaient pas tolérer ce que Tristan avait fait.

Même l’inquiétude s’est dessinée sur le joli visage de Romane , elle s’est ressentie que ce que Tristan avait dit était un peu excessif. Si cela arrivait aux oreilles de Gustave, ce dernier n'aurait aucune pitié et ne lui pardonnerait pas facilement ; Gustave pourrait expulser Tristan de la famille Brousseau.

Tristan a regardé froidement les membres de la famille Brousseau. Dans les yeux des membres de la famille Brousseau, Gustave était une personne suprême. Mais aux yeux de Tristan, Gustave était une personne têtue qui ne pouvait pas distinguer le bien du mal .

Quant à Tristan, Gustave n'était pas encore qualifié pour lui faire peur.

Tristan a vu que la plupart des membres de la famille Brousseau étaient en colère avec visage entièrement rouge, mais personne n’a osé s'avancer et lui faire quelque chose. Ils se sont même reculés inconsciemment lorsqu'ils regardaient les yeux froids de Tristan ; Tristan n’a pu s'empêcher de rire.

Il a secoué la tête et s’est mis à rire avec mépris :

— Quel tas de déchets !

Un tas de déchets qui opprimaient les faibles et craignaient les forts !

Depuis longtemps, ce qu’ils savaient faire de mieux, c’était d’être arrogants devant les faibles et rampant devant les forts.

Autrefois, pour ne pas attirer l'attention de la famille Baudet, Tristan se déguisait délibérément en faible. À cette époque, n'importe quel membre de la famille Brousseau osait le taquiner et l'humilier.

Après trois ans de souffrance en silence, maintenant, Tristan s'est réveillé et a montré son côté sauvage. Même s'il les a traité de déchets devant eux, ils n’ont osé pas lui répondre.

Comme ils étaient ridicules et pathétiques !

Tristan a soudainement perdu tout intérêt à intimider un tel groupe de personnes, ce qui était vraiment ennuyeux.

— Romane, rentrons.

Tristan a regardé Romane et a souri légèrement.

Romane a regardé Tristan avec un visage inquiet et a hoché légèrement la tête.

Jusqu'à ce qu'ils ont quitté la cour de l'entreprise, de nombreux membres de la famille Brousseau dans la cour se sont mis à soulager et essuyer leurs sueurs froides.

Le visage de Daniel était rempli de haine. Si la personne qu'il détestait le plus était Romane, maintenant c'est définitivement Tristan !

Il pouvait endurer d'être embarrassé par Romane, mais il ne pouvait pas absolument accepter d'être embarrassé par un déchet comme Tristan.

— Tristan...

Romane était sur le point de parler, mais elle n’a dit rien. Elle ne comprenait pas pourquoi Tristan a soudainement devenu si forte, à tel point qu'il a osé défier Gustave.

— Romane, est-ce que tu me crois ? a demandé Tristan soudainement.

Romane a été choqué, car Tristan lui avait posé la même question sur Facebook hier, et elle avait choisi de le croire.

Puis elle a réussi à négocier le projet de la Montagne du Printemps.

Aujourd'hui, Tristan lui a demandé la même question...

Romane a souri et lui a répondu :

— Je te crois.

Il n'y avait pas de raison, et il n'y avait pas besoin de raison.

Tristan a levé les lèvres et lui a dit :

— Je ferais grand-père te redonner le projet de la Montagne du Printemps.

Romane était étonnée avec sa bouche ouverte. Reprendre le projet de son grand-père ? Elle n'osait même pas y penser car elle connaissait bien son grand-père ; Il était une personne âgée qui plaçait la face avant tout.

Maintenant, comme il avait déjà décidé de remettre le projet de la Montagne du Printemps à Daniel, il ne le regretterait jamais. S'il redonnait le projet à Romance, cela signerait violer ce qu’il avait dit.

De plus, reprendre le projet impliquait que son grand-père devrait faire des compromis avec elle.

Son grand-père serait-il possible à faire des compromis ? Romane croyait que la réponse serait négatif ; Son grand-père était toujours si supérieur à tout. Dans ses yeux, la jeune génération était toujours inférieure. Laissez l'aîné baisser la tête devant le cadet, ce qui est plus inconfortable pour lui que de le tuer.

Mais Tristan l'a dit si sûrement ; Romane n’avais été si hésité avant.

Romane pensait que l'un était son grand-père, l'autorité absolue de la famille Brousseau. L'autre était son mari, une nullité aux yeux de la famille Brousseau. À qui devrait-elle faire confiance ?

En fait, ce que Romane ne savait pas, c'est que avant de lui demander de négocier le projet de la Montagne du Printemps avec Mathis, Tristan s’était déjà attendu à ce que Gustave mettrait Romane à la porte et aiderait Daniel à se hisser au sommet après la négociation.

Gustave pensait qu’il avait une autorité absolue dans la famille Brousseau, donc Romane n'osait pas aller contre sa décision.

Mais Gustave a ignoré Tristan, un gendre négligeable de la famille Brousseau !

C'est lui qui pouvait véritablement décider la vie de la famille Brousseau !

Le Club du Temps d'Or était l'un des plus grands clubs de divertissement de la Cité C.

À ce moment-là, Daniel était assis sur le canapé, l'air sombre, dans une salle privée de luxe du club.

La porte de la pièce a été poussée, et un homme vêtu d'une chemise à motifs de fleurs avec une cicatrice féroce sur le visage gauche est entré.

Derrière cet homme, il y avait également deux femmes superbes qui portaient des cheongsams fendus en montrant la plupart de leurs jambes fines.

— M. Gabriel.

Daniel s'est levé immédiatement avec un grand respect lorsqu'il a vu l'homme entrer dans la pièce.

— Daniel, pourquoi tu viens ici ?

Gabriel, s'est assis avec désinvolture sur le canapé. La femme en cheongsam à côté a immédiatement sorti un cigare et l'a allumé pour lui.

— M. Gabriel, je viens pour vous faire plaisir, lui a répondu Daniel avec un regard flatteur.

La personne en face de Daniel s'appelait Gabriel Halphen ; En apparence, Gabriel était le patron du Club du Temps d'Or. Mais secrètement, il était le potentat local du district ouest de Cité C. Dans l'ouest de la ville, presque tous les KTV et les clubs de divertissement étaient sous le contrôle de Gabriel.

Gabriel a secoué la tête, vomissant une mèche de cigarette et a dit en souriant :

— Ça suffit. Tant que tu lèves ton cul, je saurai quelles conneries tu vas faire. Dis-moi dans quel genre d'ennuis tu te mets encore et comment je peux t'aider.

— M. Gabriel, rien ne compte vraiment.

Daniel s'est arrêté un peu et a dit :

— Hum, M. Gabriel, n'as-tu pas mentionné que tu aimais beaucoup ma cousine...

— Votre cousine ? Romane !

Les yeux de Gabriel se sont mis à briller ; il s'est tout de suite intéressé.

— Oui, c'est elle.

Daniel a hoché la tête.

— Cette fille n'est-elle pas mariée depuis trois ans ?

Gabriel a froncé les sourcils :

— Que s'est-il passé ? Elle t'a provoqué ? a demandé Gabriel avec désinvolture.

— Pas vraiment. Notre famille Brousseau a obtenu un projet du Groupe Pointe. Mon grand-père m'a donné le projet, mais cette petite femme s’est mêlée dans mon projet. J'ai donc eu un petit conflit avec elle.

— Tu veux la tuer ?

Gabriel a levé les sourcils et a demandé.

Daniel a secoué rapidement sa tête et a dit avec un sourire :

— M. Gabriel, arrête de plaisanter. Pourquoi ai-je besoin de la tuer ?

Daniel n’osait pas tuer les gens.

— Le projet du Groupe Pointe ? Tu veux dire le projet de la Montagne du Printemps, non ?

Gabriel a plissé les yeux et a demandé. Il savait que la Famille Baudet et Bastien avaient investi 50 milliards pour développer la Montagne du Printemps. En d'autres termes, tout le monde à la Cité C l’a su actuellement.

— M. Gabriel, vous êtes si sage.

Daniel a flatté Gabriel.

— 30 %, a prononcé Gabriel légèrement.

30 % ? Que signifiait 30 % ?