I- Chapitre 05

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-TITRE: LA LIMITE INTERDITE

-AUTEUR: LOLO

-CHAPITRE 05:

Au bout de quelques instants, Belvine ralentit son balancement et s'arrêta. Elle se pencha à nouveau et m'embrassa. Elle dit d'une voix presque chuchotée;

__J'aimerais être sur le dos. C'est ta première fois, alors c'est toi qui dois contrôler.

Elle se dégagea et nous changâmes de place. Je rentrai dans sa chatte, tâtonnant un peu à l'entrée, mais elle me guida de la main, et je me glissai à nouveau en elle, effectuant environ trois mouvements avant de la pénétrer complètement. C'était maintenant Belvine qui se soulevait à ma rencontre à chaque mouvement, mais seulement légèrement, c'est donc moi qui contrôlais le mouvement, la profondeur et le timing. De temps en temps, elle m'attirait contre elle et m'embrassait, ou effleurait doucement les miennes de ses lèvres comme elle l'avait fait auparavant, ce qui était presque aussi excitant, mais je maintenais le mouvement doux, essayant de le faire durer.

Elle miaula;

__Ohh, j'adore; j'adore ta douceur, mais je sais que c'est parce que tu ne veux pas jouir trop tôt.

Elle tendit la main, passa ses doigts dans mes cheveux;

__T'inquiète, je ne vais nulle part. Accélère juste un peu le rythme. Je veux te voir jouir.

J'ai arrêté de bouger;

__Me voir ?

Elle dit doucement;

__Non, idiot. Je ne veux pas le voir sortir, je veux que tu jouisses en moi. Laisse-toi faire. Ce sera incroyable , crois-moi.

Je n'avais pas vraiment réfléchi aussi loin, et j'ai demandé;

__À l'intérieur ?

Elle a répondue en recommençant son lent mouvement de va-et-vient sous moi;

__Ohh, c'est bon... Je prends la pilule depuis une éternité. Vas-y, oui vas-y

J'ai recommencé à la baiser, toujours lentement, et elle a ajusté le mouvement de son bassin au mien;

__Tu te débrouilles très bien, mais ne t'inquiète pas si je ne jouis pas cette fois. Rares sont les mecs qui font jouir une fille la première fois, alors ça ira.

Je répondis;

__Mais ce ne serait pas très bon pour toi, nest-ce pas ?

Elle répondit en baissant les yeux, mais continuant à soutenir mes coups avec douceur;

__Eh bien, je m'en occuperai après.

Elle me regarda de nouveau et dit;

__Tu peux regarder si tu veux...

Elle marqua une pause, puis poursuivit;

__Ou même m'aider, si tu veux.

J'ai murmuré en continuant à la baiser;

__J'aimerais vraiment t'aider pour ça

Je sentais que je n'allais plus tenir longtemps, mais soudain, Belvine tressaillit et émit un bruit de gorge. Ses yeux s'écarquillèrent légèrement, et je crus un instant lui avoir fait mal. Avant que je puisse faire quoi que ce soit, elle dit, un peu plus fort qu'avant;

__Rony, tu me fais jouir ! Je ne pensais pas que tu le ferais, mais ça va arriver.

Maintenant, c'était elle qui avait la voix tremblante.

J'accélérai un peu le rythme, mais je ne voulais rien gâcher, alors je maintins le rythme à peu près constant. Ses propres mouvements de va-et-vient s'intensifièrent, puis elle dit d'une voix pressante;

__S'il te plaît, ne t'arrête pas ! S'il te plaît , ne t'arrête pas, ne t'arrête pas Rony ! OHHHHH MON DIEU, Oui, vas-y mmhhh

Belvine sembla se raidir, serra les bras contre sa poitrine, cambra le dos et pencha la tête en arrière, les yeux fermés, en disant beaucoup plus doucement;

__Ohhh bon, tellement bon, tellement bon. C'est tellement bon !

La voir jouir, plus les spasmes de sa chatte autour de moi, déclenchèrent le mien, que je sois prêt ou non, et je sentis des vagues de plaisir s'enchaîner dans ma queue, remonter dans tout mon corps, puis rebondir dans l'autre sens. Je ne sais pas combien de fois j'ai giclé, trop absorbé par le plaisir pur et cristallin de la libération sexuelle pour y prêter attention, mais après ce fut fini, je découvris que Belvine m'entourait de ses jambes et me serrait contre elle. Elle dit d'une voix douce, presque chuchotée;

__S'il te plaît, reste dans mes bras une minute ! Laisse-moi te tenir. J'ai juste envie de te tenir. Tu l'as fait si bien.

Nous sommes restés allongés ainsi une minute ou deux, pendant qu'elle me tenait et que je restais en elle, puis elle a tendu la main, a attiré mon visage vers elle, m'a embrassée à nouveau;

__Merci. Merci pour ça ! Je n'avais pas vraiment prévu d'aller aussi loin, mais je suis contente qu'on l'ait fait.

Elle a pris une inspiration;

__Tu sais comme on a besoin de quelque chose, parfois ?

L'orgasme de ma sœur n'avait rien à voir avec ceux des acteurs films adultes que j'avais si souvent vus en vidéo. C'était une vraie femme, éprouvant un réel plaisir sexuel, sans paraître plus dramatique qu'il ne l'était. Nous étions allongés dans mon lit, et avec la maison pour nous seuls, Belvine dormait avec moi, les bras et les jambes enroulés autour de moi, et je sentais qu'elle en avait autant besoin que de l'amour que nous venions de vivre. Nous étions deux personnes qui avions fait quelque chose de très mal, mais ensemble, nous avions aussi fait quelque chose de très bien. Cette nuit-là, nous avions franchi une limite interdite, mais de l'autre côté, nous avons trouvé quelque chose d'extraordinaire, exactement comme Belvine l'avait prédit. Cependant, comme Belvine l'avait aussi dit, il n'y avait pas de retour en arrière, et je suis resté allongé là quelques brèves minutes, à penser à ces choses, tandis que je m'endormais, enlacé avec cette belle femme, qui était aussi ma sœur. La société avait estimé que jétais naturellement immunisé contre sa beauté et son magnétisme sexuel, mais les événements de cette nuit-là avaient montré le contraire, et je savais que nous ne serions plus jamais les mêmes, à partir de cette nuit-là.

Je me suis réveillé le lendemain matin et Belvine était toujours allongée à côté de moi. Tout était vrai. Je voyais bien qu'elle était réveillée depuis un moment et qu'elle m'observait pendant mon sommeil. Voyant que j'étais réveillé, elle a levé les yeux au ciel;

__Voilà, c'est vraiment arrivé. Alors, des regrets ?

J'ai répondu;

__Non et toi ?

Elle a soupiré;

__Tu sais, je n'avais pas vraiment prévu d'aller aussi loin hier soir, mais je ne regrette pas que nous l'ayons fait. Pas du tout.

Elle posa sa main sur ma poitrine, puis continua;

__On ne devrait probablement pas recommencer, mais je connais suffisamment la vie pour savoir que ça se reproduira probablement de toute façon, alors il faut que nous mettions les choses au clair, dès le départ, sinon...

Elle marqua une pause, comme si elle cherchait la meilleure façon de formuler la chose, puis dit;

__...Sinon, on a créé un désastre qu'on ne pourra jamais réparer.

J'avais une bonne idée de ce qu'elle voulait dire, avant même qu'elle ne le dise, alors j'ai hoché la tête et dit;

__Ouais.

Ce n'était pas vraiment une réponse, je sais, mais la situation m'avait prise par surprise, alors l'indulgence

Elle commença;

__Premièrement, personne ne doit jamais savoir.

J'ai répondu;

__Ça va sans dire.

__BELVINE: L'autre chose...

Elle se rapprocha de moi en disant cela;

__...c'est que nous sommes frère et sœur. Nous nous sommes aimés toute notre vie, mais nous ne pouvons pas être amoureux . Nous ne pouvons pas tomber amoureux. Tu vois ce que je veux dire ? Nous ne pouvons pas être possessifs.

__MOI: Tu as tout prévu, n'est-ce pas ?

Elle sourit;

__Tu me connais. Toujours pragmatique

Elle devint plus sérieuse et ajouta;

__Et on ne peut même pas avoir l'air de faire quoi que ce soit quand papa et maman sont à la maison. D'accord ?

J'ai hoché la tête.

Elle sourit;

__À part ça, on vit dans la même maison, donc si on est excités l'un pour l'autre, personne n'a besoin de le savoir, sauf nous.

Puis elle a regardé l'horloge à côté de mon lit et a dit;

__Bref, je dois me préparer pour aller travailler.

Alors qu'elle grimpait sur moi pour attraper son pantalon de pyjama posé par terre à côté de mon lit, je me suis souvenu que sous les draps, elle était torse nu. Ça n'a pas arrangé mon érection matinale, surtout quand j'ai senti ses poils pubiens me chatouiller le ventre, tandis qu'elle grimpait sur moi pour atteindre son pantalon. Ensuite, alors qu'elle se trémoussait et s'étirait pour atteindre son pantalon, ma bite dure a effleuré sa hanche droite, et elle a murmuré;

__Je suis flattée, mais je dois aller travailler.

Après ce qu'on avait fait la nuit dernière, je n'ai pas pu m'empêcher de trouver drôle qu'elle ait gardé le drap sur elle jusqu'à ce qu'elle remette son pantalon, puis qu'elle se lève et se dirige vers sa chambre.

Après qu'elle eut pris sa douche et s'être habillée pour aller travailler, nous avons pris le petit-déjeuner ensemble, comme tous les jours. Si proches, nous avions encore l'habitude de nous embrasser pour nous dire au revoir. Elle s'est penchée et m'a fait un bisou très fraternel sur le haut de la tête, tandis que je m'asseyais à table.

__Belvine: À plus !

Elle est partie travailler par la porte de derrière.

A SUIVRE...