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Jordan : ta fais quoi aujourd'hui ?
Moi : je suis allé visiter une maison avec mon Fiancé
Jordan : alors ?
Moi : alors elle est très belle
Jordan : donc tu vas accepter sa demande
Moi : si il me demande ? Oui j'accepterai. Et toi ? Comment elle s'appelle ta copine ?
Jordan : Inès
Moi : tu l'aimes ?
Jordan : comme un fou
Moi : mais tu l'as trompe
Jordan : sans arrêt mais je ne la trompe pas avec toi puisque il n'y a rien
Moi : effectivement.
On parlait, ce mec est irrécupérable. Je pense qu'il n'arrêtera jamais de tromper sa copine et le plus incroyable dans tout ça c'est qu'elle ne se doute de rien, comme si il choisissait ses conquêtes parfaitement.
Il reste jusqu'à 22h puis il rentre chez lui, je me retrouve seule et je ne suis pas fatigué. J'avais envie que Aymen vienne mais je ne pouvais pas appeler, pas l'appeler directement alors je vais passer par Nahel.
Moi : allo
Nahel : salut toi
Moi : ça va ?
Nahel : oui et toi ?
Moi : oui
Nahel : demain tu fais quoi ?
Moi : rien je comptais venir te voir
Nahel : parfait on ira voir nos beaux parents
Moi : ça va.
Nahel : et là tu fais quoi ?
Moi : rien je suis à l'hôtel
Nahel : Pourquoi tu ne demandes pas à Aymen de te rejoindre, il est passé ici et il parlait de toi avec un certain Jordan
Moi : ?, il était jaloux ?
Nahel : et pas qu'un peu, il a fait peur à Ayem alors que Dieu sait qu'elle l'adore
Moi : tant mieux
Nahel : a quoi est ce que tu joues ?
Moi : à rien, Jordan est un ami mais si il peut m'aider à énerver Aymen, je ne dis pas non .
Nahel : ok je vois
Moi : mais tu peux lui dire de venir me voir stp et bien sûr tu ne lui dis pas que ça vient de moi. Convainc le
Nahel : ok je peux faire ça.
Moi : Merci a demain
Nahel : yes .
On raccroche, je suis allé dans chambre le faire une petite beauté, faut quand même qu'il voit un peu du potentiel qu'il risque, ou pas, de perdre.
Je fais tout de même un chignon pour ne pas qu'il crois que j'en ai trop fait enfaite j'ai juste enfilé un autre pyjama
Je fais tout de même un chignon pour ne pas qu'il crois que j'en ai trop fait enfaite j'ai juste enfilé un autre pyjama.
On toque à la porte mais pas des petits coups, non des énormes coups comme si il s'agissait de la police ?.
Je vais ouvrir et je vois Aymen qui entre et qui regarde partout, en me demandant où il est
Aymen : ou il est ?
Moi : mais de qui tu parles ?
Aymen : le type qui essayait de t'agresser
Moi : hein ? De quoi tu parles ?
Aymen : Nahel m'a appelée pour me dire que .. elle c'est foutu de ma gueule
Moi : ça m'en a tout l'air.
Elle est folle !!!! ????
Moi : et donc tu es venu pour me sauver
Aymen : quoi ? Non non pas du tout, j'étais dans le coin
Moi : Je ne peux peut être pas entendre les battements de ton cœurs mais je sais quand tu mens et là tu mens.
Il me regarde et par s'installer
Moi : mais je t'en prie met toi à l'aise
Il prend son téléphone et appelle je ne sais pas qui
Aymen : Allo
…
Aymen : j'y suis là mais personne n'est en train de l'agresser
….
Aymen : arrête de mentir Nahel
…
Aymen : tu sais que je vais me venger
….
Aymen : n'importe quoi, on se voit demain mon bijou.
Il raccroche
Aymen : comme tout va bien je vais te laisser.
Moi : tu peux rester si tu veux
Aymen : c'est ce que tu veux ?
Moi : si ta question est, est ce que ça me dérange, la réponse est non.
Il se lève et se place face à moi, proche, très proche de moi.
Aymen : ma question c'est est ce que tu veux que je reste ?
Je ne voulais pas répondre mais je ne contrôlais rien et doucement j'ai souffler « oui ».
Il me regarde puis pose ses lèvres sur les miennes. Il me porte toujours en m'embrassant et nous emmène dans la chambre. Je ne sais pas ce qui allait se passer mais dans ma tête, dans mon corps c'était le feu. Je le désirais beaucoup trop pour arrêter ce qui était lancé.
On s'embrasse pendant de longue minute, ses mains se baladaient sur mon corps et les miennes sur le sien. Je lui retire sa veste et son t-shirt et pour la première fois je peux voir sa musculature impressionnante.
J'étais comme ça ??quel corps , déjà que j'étais en feu, ça n'a rien arrangé.
On s'embrassait tendrement, on s'embrassait fougueusement, on s'embrassait langoureusement, on s'embrassait avec amour et passion.
Cette fois c'est lui qui me retire mon haut, je me retrouve topless, les seins écrasés contre son torse, ce qui allait se passer n'était pas bon mais je ne pouvais pas arrêter ce qui était déjà lancé.
On était presque nus, il était en caleçon et moi en boxer, pourtant il a réussi à tout arrêter. J'étais choquée de moi, choquée de jusqu'où j'étais allé. Depuis mon viol, il était le premier à me voir si peu habillé et il n'a rien eu à faire pour ça .
Aymen : on ne devrait pas faire ça
Moi : mais qu'est ce qui m'arrive
Je me Cachais la poitrine avec ma main en remettant mon haut .
Aymen : c'est le Loup
Je le regarde, de quoi il me parle ?
Aymen : le Loup, il te désire et il accru ton désire
Moi : alors il n'y a que le loup qui me désire ?
Aymen : qu'est ce que tu cherches à faire ?
Je rapproche de lui, jusqu'à le toucher.
Moi : répond à ma question : il n'y a que ton loup qui me désire ?
J'approche ma tête de la sienne, mes lèvres de mes siennes
Moi : alors ?
Je frôle ses lèvres avec les miennes
Aymen : non
Moi : non quoi Aymen ? Dit le
Aymen : il n'y a pas que le loup qui te désire
Je souris en éloignant ma tête de la sienne
Moi : bien
Je m'allonge dans le lit, il ne bouge pas et me regarde, puis s'allonge à mes côtés.
