
Résumé
Plongez vous dans l'univers de Karène pour une aventure fou erotiques
00
Partie 0 : The feelings inside
[Flash]
Vive les mariés !!!
Un sourire de circonstances est figé sur mes lèvres. Personne ne pourrai imaginé la tempête qui fait rage en ce moment dans ma tête , dans mon cœur.
Aujourd'hui c'est le mariage de ma sœur, celle qui a toujours été là pour moi celle sur qui je sais que je pourrais toujours compter.
Je la vois splendide dans sa robe blanche malgré tout il faut être aveugle ou aigri pour ne pas reconnaître en elle cette beauté douce et chaude à la fois qui caractérise ma Lysette. Une voix me sort de mon moment de torpeur
« Kara viens faire une photo avec les mariés !!»
Je me retourne et croise le regard glacial de maman Véro. Cette femme me fait toujours aussi peur qu'au premier jour, quand elle te regarde c'est comme si elle lisais en toi. Je suis alors la voix et vais rejoindre l'objet de toute mon attention .
[ Flash ]
Après une série de photos je me baisse et Ly me chuchote à l'oreille quelque chose qui me fais éclater de rire mais fondre en larmes à l'intérieur. Michel le marié me fait un clin d'œil suivi d'un signe de tête, je suis son regard pour croisé celui de Fernand qui me fixe de ce regard gris que je ne connais que trop bien.
Mon cœur se serre encore plus quand je remarque à quel point il est beau dans son costume trois pièces bleu roi. Je soupire et lui fait mon sourire le plus éclatant en allant vers lui . Il m’accueille en posant délicatement sa main sur ma taille (tout mon corps est parcouru d’un frisson intense ).
Fernand : je te cherchais (un pli qui ressemble à un sourire déforme son visage un instant).
Fernand me guide vers la foule en faisant fi du trouble qu'il sait avoir créé en moi.
Nous arrivons face à un homme de carrure imposante vêtu d’un costume noir sur mesure, on peut aisément deviner ses muscles étouffés sous ses vêtements. Il a des yeux très sombres et le crâne rasé, chez nous on dit que si tu mets l'huile dessus sous le soleil agniangoulé tu peux te faire cuire un œuf tranquille. Cette pensée fait que je me plie de rire à l'intérieur .
Fernand :Ma chérie, je te présente Mr Okayi Franck, un de mes partenaires.
Mr Okayi :Madame, votre beauté n'a pas son pareil.( Il me tend la main je lui donne la mienne et il me la baise délicatement. )
Hum depuis quand mes frères noirs connaissent ça ? Pardon. Lorsqu'il termine je me contente de sourire et de lui répondre merci.
C'est sans aucune gêne qu'il me regarde avec intérêt.
Il ne connaît pas l'enfant qu'on appelle Renami encore ,de toutes les façons chacun porte sa croix.
Après un échange et un rendez-vous prit pour le week-end prochain je profite du désordre que les pages font pour m’excuser chez les hommes et m'éloigner d'eux.
Quand j'arrive à leur niveau j’interpelle Mehdi le fils de Sidney, la grande sœur de Michel.
Moi (grondant) :Essayez de vous calmer encore pendant quelques temps bientôt la cérémonie prendra fin et vous pourrez vous amusez et faire les sauvages comme d'habitude ( durcissant le ton) je ne veux plus avoir à me retourner vers vous pour parler de ça !
Si je m’adresse à lui c'est parce que il est le meneur, si il reste tranquille les autres suivront sûrement.
Après les dernières photos, le cocktail du mariage se termine et les mariés doivent se retirer.
Je me rapproche de ly pour lui dire que je veux passer un petit moment avec elle mais son regard doux et désolé me fait savoir avant que je ne dise quoi que ce soit que ça ne va pas être possible.
Je lui fais tout de même un câlin quand j’arrive à son niveau.
Moi : Reposez vous bien les jeunes mariés on se revoit à la soirée.
Michel (regardant sa femme amoureusement ) : Vous c’est un peu plus tôt, tu vas sûrement kidnapper ma femme une heure avant avec la maquilleuse et la coiffeuse.
Ly : Merci bébé on se voit tout à l’heure.
Je vous ai déjà dit que ly avait une voix la plus douce et posée que je connaisse. Comment fait elle donc pour être aussi calme et sereine après ce qui s’est passé hier ? Je ne cesse de revoir encore et encore des flash de sa soirée d’enterrement de vie de jeune fille. Je lui souris et la regarde s'en aller avec lui.
Il me faut moi aussi partir. Je m'occupe d'abord des bébés d'honneur de ly comme elle se plaît à les appeler.
Je prend le temps de les accompagner un à un chez leurs parents. Ils doivent rentrer avec eux car ils ne seront pas présents à la soirée . Une fois fait je vais récupérer ma pochette à la réception. Pour le cocktail nous avons choisi la salle du Nomad un hôtel situé à Okala un quartier proche de l'aéroport de Libreville.
Je me dirige vers le parking et fais sortir la clé de ma voiture . Clic clac , c’est le bruit que fait ma voiture lorsque je la déverrouille. Je fais ma manœuvre et sors du parking de l'hôtel. Je ne suis pas trop loin de chez moi.
Ma maison est à quelques kilomètres de l’hôtel dans la cité Amissa. Elle est au nom de la défunte fille de l'ancien président du Gabon. Après quelques minutes à maudire intérieurement les chauffards de mon beau pays je suis enfin devant mon portail. Le gardien se dépêche de l'ouvrir. Une fois dans mon parking je remarque que la voiture de Fernand y est déjà. Je soupire fortement en imaginant ce qui m'attend déjà.
Calmement je marche vers la maison et commence par retirer un à un les éléments de ma parure que je range dans ma pochette. Je traverse le jardin, monte les marches de l'escalier puis pénètre dans la maison. Mon salon est vaste et décoré avec des couleurs crèmes. Il est alors facile pour moi de remarquer le ruban rouge qui est posé sur la table basse en verre.
Je ferme derrière moi la porte à clé et je dé zippe la fermeture de ma robe que je laisse tomber au sol. Devant la porte du bureau de Fernand dans un ensemble en dentelles jarretelles et après une forte inspiration je me met à quatre pattes et m’introduit non sans avoir cogné au préalable. Il est assis en face de moi la cravate dénoué et téléphone à l'oreille.
Fernand( m'observant de son regard impassible) : je le veux pour demain à 8h sur mon bureau.
Je rampe vers lui de la manière la plus sexy que je peux tout en le fixant.
Fernand (toujours en ligne) : un dossier complet. Je dois savoir quels ont été les premiers mots de ses enfants.
Une fois arrivée devant son bureau je passe par la petite trappe me permettant d’aller de l’autre côté et être face à sa masculinité. Je me redresse et essayé de le caresser. Il me fait non de la tête.
Fernand (voix roque) : maintenant donne toi du plaisir et jouis pour moi.
Il le dit en me regardant dans les yeux mais sans éloigner son téléphone de son oreille. Je comprends et me lève afin qu'il puisse profiter du spectacle que mon corps se prépare à livrer .
Je tourne sur moi-même et me touche de manière sensuelle avant de me mettre à genoux les jambes écartées. Je commence par me caresser la poitrine sous son regard inchangé. Et tout doucement je glisse ma main vers ma fleur d'amour que je frotte doucement. Dans son regard je ne peux lire aucun sentiment .
Fernand : parle moi, décris moi en détail ce que tu te fais et comment tu te sens.
Moi : … je me perds dans ses yeux gris sombres et me pince le téton en enfonçant progressivement un[gémissement ] puis deux doigts en moi. J'y vais d'abord lentement et de plus en plus vite de plus en plus fort.
Fernand(calmement ) : you know the deal.
Si je ne le connaissait pas je pourrais croire que ma prestation le laisse de marbre mais ce n'est pas le cas. La pensée de la soirée d'hier réveille quelque chose en moi et d'un coup mon plaisir augmente et je sens une vague de plaisir monter en moi.
Encore plus vite, toujours plus fort, je me masturbe, les seins sortis de mon soutien-gorge . Un éclair traverse le regard gris de mon compagnon. Ce signe de son excitation suffit à me donner ce qui me manquait pour exploser de plaisir.
Mon corps refroidi tout de suite après je me sens lasse.
Fernand raccroche le fixe et se dirige vers moi : laisse moi te donner un véritable orgasme.
Il se baisse vers moi agrippe fortement mes cheveux et me force à me relever. J'ai mal mais son regard qui en dit long rallume tout de suite le brasier de mon corps. Il me dirige vers son bureau.
Fernand :assied toi !
Je m'exécute et quelques secondes plus tard je reçois ses doigts sur tout mon corps. Il m’embrasse le cou et me pénètre violemment le vagin. La sensation que ses gros doigts au fond de mon corps m'arrache un soupir. Fernand presse mes seins dont il titille les bouts de ses dents. Le plaisir monte d'un cran mais je ne suis pas encore satisfaite. Comme si il m’avait entendu, sa tête descend lentement vers mon intimité.
Il baise mes cuisses puis tire sur ma culotte violemment qui cède pour faire apparaître mon triangle d'amour parfaitement épilé. Il frotte son nez sur mon clitoris avant de souffler dessus et de faire passer sa langue sur la fente de mon sexe puis d'y pénétrer en m'arrachant un cri de plaisir intense. S'en suit un moment de douce torture indescriptible. Je tiens sa tête fermement entre mes jambes qu'il fini par écarter pour que je ne puisse plus le toucher. Je m'allonge puis me relève les sens en ébullition. N'en pouvant plus je fini par supplier : Prends moi je t'en prie.
Lentement Fernand recule et me sourit de ses dents parfaites et blanches, il sort son pénis de son pantalon et le tient en me regardant . Il se rapproche de moi et me pénètre d'un cou sec. Une larme roule sur mes joues. Je suis remplie et son sexe n'est pas encore entré jusqu'à la garde. Il commence à me baiser doucement puis de plus en plus fort lorsqu'il est bien au fond il me soulève de son bureau afin que je m'empale totalement sur lui. Je ne suis déjà plus que gémissement.
Après quelques minutes il me pose la poitrine contre le bureau et les fesses en l'air. Il se calle entre mes jambes et se faufile jusqu'au dernier centimètre en moi. Je vais mourir à cause du goût. Directement il me baise sauvagement en écartant mes fesses afin de s’introduire plus fort et plus profond. Son torse se colle à mon dos ses couilles frappent sur mon clitoris, je vais jouir. Il fait passer sa main entre mes jambes et titille mon bouton pendant que de l’autre main il tire mon visage vers le sien et m'embrasse.
J’explose alors sous ce regard qui me fait fondre et il ralenti en me laissant le temps de reprendre mes esprits. Quelques instants plus tard il reprend et on entend mes cris sûrement dans toute la maison.
Lorsque ce fût terminé Fernand m'embrasse tendrement ce qui est en contradiction avec son regard froid puis me dit : ma femme et mes enfants vont s'installer finalement à Libreville.
Je me présente Karène Ossami 26 ans. Bienvenue dans ma vie les prudes sont priés de prendre la tangente car ma vie est déjà assez compliquée comme ça. Je me lève difficilement après m’être donné de la force mentalement et vais dans la chambre.
Je dépasse mon grand lit fait sur mesure pour aller dans la douche. Le jet d'eau fraîche sur mon corps me procure un grand bien je sens mes membres se détendre peu à peu . Sous le pommeaux de la douche je vois petit à petit le fil de ma vie se dérouler devant moi. Quand suis-je devenue cette personne ? Quel choix m'a conduit sur cette voie ?
