005: Plaisir
* Hanna
Lorsque je me mets à gémir, frémissante d’un plaisir imminent, Ahmed s’arrête, il me laissa sur le fil du plaisir, un sourire malicieux sur ses lèvres. Il me poussa dans le lit, il s’allongea au-dessus de moi, plongeant son regard dans le mien, et d’un geste vif, il ôte completement ma nuisette.
Sans attendre, il m'a pénètre d’un coup sec, et un cri de surprise mêlé de plaisir; s’échappe de ma gorge, d'une façon sexy qui me fis avaler un poignet de salive. L’intensité du moment me prend par surprise, et je ressens chaque centimètre de son corps contre le mien, la chaleur de sa peau me consume.
" Mon amour..." murmura t'il, son souffle chaud contre mon cou.
Chaque mouvement de ses hanches est chargé d’une passion brûlante, et je me perds dans l’extase de notre union. Il s'enfonce plus profondément, en me prenant avec une force contrôlée, synchronisant ses mouvements avec mes pleurs et mes gémissements.
Chaque coup de reins est une promesse de plaisir, chaque étreinte devient plus intime et plus urgente, plus gaie, trop charmant.
Je l'accueille, je me cambre sous lui, ma voix résonne de désirs longtemps cachés, longtemps inavoués. Mais elle raisonnait aussi, de plaisir partagé. Dans ce moment suspendu, nous nous trouvons à la croisée de nos envies, de nos corps, vivant une connexion qui transcende les simples mots. J'attegnais presque les cieux.
Il fit une pause, je levais mes mains, le déposa contres ses joues, " ne t'arrête pas bébé." Ai-je supplié avant de prendre ses lèvres dans les miennes.
D'un moment à l'autre, je rompre le baiser et dis: " vas-y bébé, défonce moi, complètement. " Ai-je supplié.” travaille, ne t’arrête pas! je souhaite que tu me baise aujourd'hui comme un fou de rage ! " Dis-je ma voix tremblante de désir.
" Oui...je sais." Répondit -il en me regardant dans les yeux. ” mais tu sais quoi...”
“ Je ne sais rien.” Dis-je calmement en mordillant sur mes lèvres de façon à l'exciter.
“ Je t'aime mon amour.” a t'il déclaré. J'ai poussé un très charmant sourire. Et j'ai bougé mes reins.
''Tu es tellement étroite, ma femme, tu vas me rendre dingue, un jour! " Ajouta t-il derrière un murmure ensuite, il changea de position.
Il se lève et me soulève délicatement, il me fait asseoir sur lui, permettant ainsi une pénétration plus profonde.
" Ah... Ahmed , chéri... ah Uhm, hum ! " Ai-je laissé échapper ces mots en interrompu. Je serai mes doigts contre ses épaules.
Pendant ce temps, un gémissement de plaisir s’échappe de ses lèvres à lui, alors qu’il plonge assez loin dans mon intimité .
" Uhm..." Je me suis agrafée sur lui comme un papier collant. Je griffe son dos; car débordée par l'excès de plaisir, je venais juste de l'inciter à aller plus loin.
" Vas-y fait moi plaisir bébé, bouge tes hanches." A t'il murmuré, sa voix rauque et chargée d’envie.
J'ouvre mes yeux et le regarde. L'éclat de ses yeux me donna envie d'obéir pour lui faire plaisir.
Au départ, mes mouvements sont maladroits, mais il me guide doucement, il me montre comment balancer mes hanches, comment faire vibrer notre connexion.
Aisément, je trouve mon rythme, et chaque mouvement provoquait une intensification de notre plaisir, je transpirais à grosse goutte dans les bras de mon mari... J'étais excitée qu'il me regarde travailler pour nous deux.
Pendant que je le chevauchais, il se pencha pour sucer mes tétons, faisant monter encore plus la température en moi.
Oh seigneur ! Ses mains s’attardent sur mes fesses, me donnant de petites claques qui font vibrer mon corps, amplifiant l’excitation.
Pour notre première nuit, il ne m'avait pas fait des choses pareilles. Naïvement, j'adorais qu'il me frappa de cette façon, j'étais encore plus engagée.
Nos souffles se mêlent dans un rythme effréné, et chaque contact, chaque gémissement résonne comme une mélodie sensuelle, une balaie de plaisir partagé.
Je me laisse aller, perdue dans l’extase, et il se délecta de ma beauté, de ma passion, de notre union, ne voulant rien d’autre que vivre chaque instant avec une intensité inouïe, désormais possible !
Il continue à me faire vibrer, et au bout d’un moment, je sens que je suis sur le point de jouir. Une degré de chaleur dont j'avais su l'existence pour la première fois: dans ses bras, était presque encore en chemin pour cette fois-ci.
Elle me frappait avec puissance et petit à petit, je commençais à trembler sur lui. Il me jette dans le lit.
" On s'arrête ou pas?" A t'il demandé en serrant ma gorge.
J'ai le souffle court, “ ne t’arrête pas bébé... allons y jusqu'au bout. Fais-moi trembler d'amour.” Ai-je murmuré entre deux soupirs; ma voix pleine de désir.
Un sourire se dessine sur ses lèvres...
Il accélère ses coups et je me laisse aller à cette sensation, savourant chaque instant d’intimité. Mon cœur bat la chamade, et chaque mouvement, chaque soupir de notre part nous rapproche de l’apogée. Ce que nous partageons est plus qu’un simple acte physique.
C’est un échange d'âme; c'est à dire: une connexion, un abandon total à la passion qui nous unis, un moyen de devenir un et la même personne pour toujours.
Nous avons longtemps hésité, nous avons longtemps douté, en ce moment, fini des doutes et les hésitations, rien ne vaut plus que cet instant, cette étreinte sauvage et vulnérable. Ahmed continu à me chevaucher, sentant la profondeur de notre union intensifier notre plaisir à chaque seconde, à chaque minutes...
Nous jouissons ensemble, et je m'affole sur son torse, épuisée, la respiration coupée...
C'était un match nul, je remarquais que je n'avais pas assez pleurnicher comme le premier jour. Et aussi, je n'ai plus assez peur de regarder son énorme dragon noir.
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* Ahmed
“Qu'est ce que c’était superbe ! ” Ai -je dis, un sourire aux lèvres.
“ C'était toi le plus superbe, mon cher époux. " A t'elle répondu en me regardant à peine dans les yeux.
Tout est revenu dans le calme. Je la regardais avec amour et tendresse. Pendant ce temps, elle se contente juste de se laisser aller dans mes bras, cherchant refuge dans l’étreinte.
Nous restons ainsi, enveloppés par le silence, un moment indéfini où le monde extérieur semble s’effacer. Chacun de nous est perdu dans ses pensées, savourant la douceur de l’instant.
“ Hanna... ” Ai - je murmurai à voix basse, brisant le silence.
Elle a bouge légèrement la tête, s’accrochant un peu plus à moi.
“ Ce dont nous venons de vivre est indescriptible”, Déclarai-je fièrement; le cœur battant d'affilée.” j'aimerais le revivre avec toi tous les jours s'il en faut, jusqu'à ce que la mort nous sépare.” Ajoutai - je.
J'ai marqué une pause savourant son sourire. Elle a son visage baissé, c'était comme si elle se cachait de moi.
“ Ma chérie, tu es une belle personne, tant de l’intérieur que de l’extérieur. Ta force, ton désordre, tout en toi m’attire. C’est plus qu’une attirance physique ; c’est une connexion que je n’avais jamais ressentie auparavant. Voilà pourquoi je t'ai toujours aussi désiré. Tu sais pourquoi ?” Ai-je demandé.
“ Dit le moi.” A t'elle murmuré vers mon oreille, son visage toujours plongé sur mon cou, c'est une preuve qu'elle n'a pas encore le courage de me regarder lorsque je suis nu.
Je l'ai retiré de là avec douceur. Je l'ai ténu par le menton, l'amenant à me regarder dans les yeux.
” C'est parce que tu es ma moitié. ” Ai-je déclaré en la regardant dans les yeux, pour que son cerveau implémente mon visage dans sa tête.
Elle a ouvert ses yeux verts et nos regards se sont croisés. Je peux voir l’éclat dans ses yeux, un mélange d’étonnement et d’émotion.
“ Je veux que tu saches que chaque moment passé avec toi compte. Dans ce monde rempli de doutes, tu es mon point de repère, mon trésor et maintenant ma femme. J'aimerais très bientôt, que tu devienne la maman de mes gosses. Ça te dis?” Ai-je demandé avec un sourire.
“ Je...” A t'elle hésité.
Elle a ensuite baissé son visage et elle m'a souris. Je peux voir qu'elle n'est pas prête à affronter cet étape. C'était décidément trop tôt d'en parler maintenant. Je ne l'ai plus posé de questions. J'ai dis:
“ Nous avons tout notre temps...” Ai-je ajouté pour correction et l'amena à garder son sourire.
Elle ne m'a pas répondu mais elle sourit, c'est tout ce dont je souhaite.
“ Hanna Ahmed Silvain Ahmed, je t'aime malgré votre tête de mule ! ” Déclarai- je en touchant ses lèvres de mon pouce.
Elle a esquissé.
“ Je vous aime aussi, monsieur Ahmed Silvain Ahmed. ” Dit-elle.
Je la serre un peu plus contre moi, conscient que cette intimité va au-delà du simple plaisir car c'était un symbole de notre union. C'était un moment unique dont je n'avais encore partagé avec aucune autre femme. C’est une promesse, un serment d'un bonheur éternel.
L'instant d'après, je la regarde dans le silence, l'atmosphère est palpable, je veux qu'elle garde mon image dans son cerveau. Je veux l'apprendre à me fixer avec courage. Les secondes d'après, elle a poussé un sourire. Elle a baissé son visage.
“ Non, ne le fais pas. Regarde moi." Ai-je déclaré en soulevant son visage par son menton.
Elle m'a regardé, je peux voir de la peur dans ses yeux. Ses doigts tremblent sur mes épaules. Lorsque je remarque celà, j'ai décidé d'arrêter pour aujourd'hui, il y aura d'autres occasions pour cette scéance.
“ On va prendre un bain?”
J'ai demandé. Elle a juste hoché la tête. Nous nous sommes levés du lit. J'ai couvert son corps de ma veste blanche qui l'a entièrement couvert, elle est sexy.
" On y va ensemble ?” Ai-je demandé pour avoir son opinion parce que je sais qu'elle est opiniâtre.
" Non, je vais d'abord y aller ensuite ça sera toi.” A t'elle déclaré.
Voilà, qu'est- ce que, je venais de dire !
Sans discuter, je l'ai laissé s'en aller.
Elle a pris son bain et moi, j'ai très bien dressé le lit pour nous. Lorsqu'elle est revenue, elle est allée s'échanger et moi, je suis allé sous la douche.
De mon retour dans la chambre, elle était déjà allongée. Je me suis habillé, je l'ai ensuite suivis dans le lit. Il pleuvait des cordes alors, je pensais fortement que mes gardes personnels étaient tous endormis. Je ne voulais pas aller les perturber, je pouvais m'occuper de ma jolie femme.
J'ai regardé Hanna, elle portait maintenant une nuisette noire avec des chaussettes noirs. Il y avait une de même couleur pour moi: un pantalon et une chemise.
J'ai rapidement enfilé des chaussettes noirs, et uniquement un bermuda et cette chemise noire. Sans la boutonner, j'ai marché jusqu'à ma femme. J'ai grimpé dans le lit et je suis allé la chercher.
Elle jouait les dormeuses mais je savais qu'elle prétendait. Je l'ai retourné face à moi. Elle m'a regardé avec un sourire. Je l'ai invité à dormir dans mes bras.
" Je t'aime tellement, Hanna." Ai-je déclaré.
J'ai caressé son dos alors qu'elle était sur moi, plongée dans ses pensées. Elle n'a prononcé aucun mot. Je sais qu'elle soit entrain de penser à la manière dont, je l'ai prise ce matin.
C'était certain qu'elle se demandait si c'était vraiment normal que je la lèche aussi durement. Si elle avait une grande sœur, elle devrait comprendre que ce soit normal. Je promets de ne pas la déranger avec des questions. Je la laisse assimiler les choses, d'elle même pour apprendre à grandir car le plus beau reste à venir.
Ainsi, sur cette position, nous trouvions sommeil, bercé par la pluie et la tranquillité de l'océan.
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