Chapitre 4 Mon gentil garçon
Mon beau-fils est dévasté.
En l'espace d'un an, il a dû assister et faire face à deux enterrements douloureux.
Tout d'abord, l'enterrement de sa mère bien-aimée.
La mère bien-aimée de mon gentil garçon a perdu son combat contre le cancer du sein par un beau samedi ensoleillé.
Mon beau-fils et son père n'ont pas pu se résigner à cette perte.
Huit mois après ce dur au revoir, j'ai rencontré son père dans un groupe de soutien pour les pertes traumatiques d'êtres chers.
Sans savoir pourquoi, il m'a demandé de l'épouser.
Et il m'a emmenée vivre avec eux.
J'ai accepté parce que la solitude et le chagrin me tuaient aussi à petit feu.
J'ai perdu mon mari et mon fils dans un accident de voiture il y a plus de deux ans.
Lorsque j'ai rencontré mon beau-fils, quelque chose s'est enflammé en moi.
Mais j'ai gardé une distance respectueuse.
Le garçon avait l'air tellement perdu, blessé, dévasté....
Abattu.
Comme son père.
Seuls ceux d'entre nous qui ont subi une perte récente comprennent notre profonde douleur.
Une nuit, alors que le cauchemar de l'accident mortel qui m'a enlevé ma famille pour toujours me réveillait, j'ai entendu mon jeune beau-fils sangloter légèrement dans sa chambre.
Mon instinct maternel, brusquement interrompu, a refait surface.
J'ai frappé légèrement à la porte de sa chambre en lui demandant la permission d'entrer.
Il n'a pas refusé.
Ce fut la première des nombreuses nuits où j'ai pu le réconforter dans mes bras.
Ce garçon de seulement vingt-six ans se blottissait contre ma poitrine comme s'il était un petit enfant.
Mais maintenant, son père est décédé...
Et je suis assise sur ce canapé, serrant dans mes bras mon beau-fils qui est devenu orphelin.
Nous sommes tous les deux seuls à cause de notre malchance.
J'étais enfant unique.
Je n'ai pas d'autre famille, comme mon beau-fils en deuil.
Je caresse doucement le dos du garçon pour le réconforter tout en embrassant tendrement son front.
Soudain, le garçon me tire pour m'asseoir sur ses genoux.
Il me serre plus fort dans ses bras en soupirant.
Je lui soulève la tête pour le regarder dans les yeux.
Les cernes prononcés sous ses beaux yeux me disent qu'il n'a pas dormi depuis des jours, résultat de sa tristesse.
C'est une bonne chose qu'il possède sa propre petite entreprise prospère.
S'il avait un travail normal, il aurait déjà été licencié pour être resté tout le temps à la maison.
Il est vraiment très déprimé.
Je continue à caresser son beau visage d'homme en essayant de lui dire, sans mots, que tout ira bien.
"Tu veux que je parte ?"
Je demande dans un murmure en le regardant attentivement.
Il ressemble à un ange pâle, torturé et magnifique.
La beauté masculine qu'il a héritée de son père, car il était vraiment très beau.
-Reste avec moi.
-Je ne veux pas être seule.
Je souris en guise de réponse avant de lui donner un baiser sur la joue.
Il a cessé de se raser et sa barbe a poussé pour lui donner un air plus âgé.....
"Je serai là pour toi, toujours."
La prochaine chose que je sens, c'est qu'il me porte dans ses bras pour m'emmener dans sa chambre.
Je ne proteste pas, ce n'est pas la peine.
Me déposant sur le lit, il s'allonge à côté de moi pour me serrer dans ses bras.
S'il te plaît, ne m'abandonne pas toi aussi", dit-il.
Son appel me remplit de tristesse, alors je le serre fort dans mes bras.
J'embrasse doucement son front...
Je descends en laissant une traînée de petits baisers le long de son nez parfait.
Est-ce qu'il fait chaud ou est-ce que c'est juste moi ?
"Tu es très beau, mon petit garçon".
Un jour, je lui ai dit cela par inadvertance et il ne s'est pas gêné.
En fait, il me demande le soir de le lui dire de cette façon pour pouvoir dormir.
"Ça ira mieux, tu verras."
Il continue à regarder mes lèvres.
"Quelque chose ne va pas ?"
Ses lèvres contre les miennes stoppent mon interrogation.
-Je suis désolée, c'est juste que...
J'enroule mes mains autour de sa tête pour l'attirer à moi.
Le baiser chaste s'intensifie de façon incontrôlée et bruyante jusqu'à ce que nous nous embrassions l'un l'autre.
Nous nous arrêtons tous les deux une seconde avant de nous regarder avec désir.
"Doux garçon..."
Je me mords les lèvres en enfouissant ma tête dans le creux de son cou.
-S'il te plaît...
-J'ai besoin de toi.
J'ai besoin de toi aussi, mon petit garçon.
Je n'ai pas fait l'amour avec quelqu'un depuis des mois.
Nous nous embrassons d'abord lentement, consciemment, comme pour tester le terrain sur lequel nous nous engageons.
Mais plus nous soupirons et fermons les yeux, plus nous perdons le contrôle de nous-mêmes.
Nos deux mains avides se déplacent en tremblant contre nos vêtements pour les écarter de nos corps.
Ce n'est que lorsque je me retrouve nue et en cage sous le corps puissant de mon beau-fils que je m'apitoie sur mon sort.
"Non, ce n'est pas une bonne idée."
La honte me submerge complètement !
Je ne possède pas le corps ferme et désirable qu'aurait une fille.
J'ai des vergetures et je suis un peu flasque.
Après tout, je suis une femme mûre d'une quarantaine d'années !
Trop grand pour mon gentil garçon....
-Tu es belle.
Laisse-moi te le prouver.
Je ne sais pas s'il le pense ou si c'est juste la chaleur du moment, mais je le laisse m'embrasser.
Ses mains caressent mon corps chaud avec urgence et un peu de rudesse.
Mon esprit se déconnecte complètement, alors la bataille pour savoir si c'est bien ou mal ce que nous sommes en train de faire se termine brusquement quand sa bouche suce l'un de mes mamelons.
"aaaahhhh !"
Mon gémissement ne fait que le rendre encore plus incontrôlable alors qu'il enroule ses mains autour de mes seins et dévore l'autre mamelon.
S'il te plaît, laisse-moi t'aimer.
Laisse-moi te faire l'amour.
Je hoche la tête parce que ma voix m'a quittée.
Il embrasse, suce et caresse mon corps avec une réelle urgence.
-Tu es délicieuse.
Je l'entends dire avant qu'il ne fasse glisser mon sous-vêtement mouillé le long de mes jambes.
-Tu sens la gloire.
Je n'en entends pas plus alors que sa jeune langue me dévore complètement.
Il gémit, grogne, me serre, et puis....
"aaaaahhhh !"
Je me brise en mille morceaux alors que l'orgasme me frappe sauvagement.
-Délicieux.
Je regarde mon beau-fils lécher les restes de mon sperme sur ses lèvres.
Son membre en érection, dur et chaud, est positionné à mon entrée.
C'est à mon tour de le supplier.
"S'il te plaît..."
Je regarde son visage agoniser de passion alors qu'il me pénètre d'une seule poussée.
Nous tremblons tous les deux en nous accrochant au corps de l'autre alors que les sensations menacent de nous faire périr !
-Maman...
Le ton qu'il emploie est d'une lubricité exaspérante.
"Bouge mon petit garçon".
"S'il te plaît maman."
Il se retire un peu pour que son membre pénètre à nouveau dans mon canal chaud.
Il s'enfonce jusqu'au bout.
"Mon Dieu..."
-Putain.
Nous nous exclamons en même temps.
Nous nous embrassons lascivement.
Je serre mes bras et mes jambes autour de son cul dur, le poussant à me pénétrer à nouveau.
"Mon doux et parfait garçon".
-Maman...
Nous gémissons dans la bouche de l'autre alors que la chaleur, le plaisir et l'extase nous engloutissent.
Ses poussées contre moi deviennent incontrôlées, dures, fortes, rapides et follement délicieuses.
-AAAAAAAHHHHHH !
grogne mon beau-fils.
"aaaaahhh !"
Mon orgasme me force à me cambrer et à enfouir mes ongles et mes dents dans sa jeune peau.
C'est la chose la plus putain de délicieuse que j'ai vécue de toute ma vie !
Même mon mari n'a pas réussi à me faire ressentir ce niveau de plaisir si putain de chaud !
Mon adorable garçon nous fait rouler de façon à ce que je sois maintenant sur lui.
Son membre est toujours enfoui profondément en moi.
Sa poitrine se soulève et s'abaisse en essayant de réguler sa respiration folle.
-Maman, je t'aime.
J'entends sa voix sulfureuse.
"Je t'aime aussi, mon petit garçon.
Et je l'aimerai avec mon corps et mon esprit jusqu'à ce que je n'en puisse plus.
***Par Liliana Situ***
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