#Episode 6️⃣
Je rentre dans la pièce en demandant si je pouvais entrer. Une attitude que j'avais copiée chez les gardes de ce fou. À chaque fois que l'un des agents de sécurité voulait rentrer dans une pièce où il était il lui demandait tous s'il pouvait entrer. J'ai fait la même chose. Il a été plus que heureux. Il me fait un grand signe de la main en direction de la table à manger. Et la ce que mes yeux découvre me répugne. Même les gardes derrière lui avaient tourné la tête. Au beau milieu de la table de la viande en quantités. Mais ce n'était pas n'importe quelle viande c'était de la chair humaine. Dans chaque grand plat il y avait un tête humaine qui fumait encore comme si on venait de le sortir du fourre. Et chaque lot dans un plat représentait le corps d'une personne. Chaque corps avait sa façon d'avoir été cuisiner. Je veux m'évanouir mais la peur m'en empêchait.
Mes mains voulais trembler, mes pieds voulais sortir en courant mais non je ne pouvais même plus respirer. Je voulais crié au secours mais pas un seul mot. Le fou me fait comprendre qu'il avait fait la cuisine lui-même. Je mime ne pas savoir ce qui était sur la table. Je m'excuse en disant :
Moi: Je suis désolée mais je ne mange jamais avant un travail.
Le fou: C'est pas grave, tu mangeras après le travail.
Moi: ok, on fait quoi maintenant?
Le fou: Je peux te montrer mes nouveaux jouets je les ai achyeter hier.
Moi: Pourquoi je n'ai rien contre. Où va où?
Le fou: À l'étage.
Seigneur qu'est-ce qui m'attendait encore. Mais en montant à l'étage je remarque qu'il avait pris un couteau avec lui. Les gardes du corps se sont regardés et ont tourné la tête. Enfin à l'étage je n'en crois pas mes yeux. Des femmes, au moins 6 femmes attacher les unes aux autres comme de pauvre animaux. Et là une douleur affreuse s'empare de mon corps je me tourne et remarque que j'ai un couteau dans mon ventre. Je n'avais pas remarqué quand ce fou était venu ce mettre devant moi. Là il me regarde encore sous le choc.
Le fou: Tu me prends pour un con? Tu crois que je n'ai pas vu ton regard. Tu crois que je suis fou? Pourquoi tu m'as regardé comme ça. Je commençais à te respecter...
Moi: Je t'es regardé comme ça parce que tu es un fou. Si personne ne te l'a jamais dit je te le dis tu est déranger. Regarde autour de toi et dit qu'elle être humain normal fait ce que tu fais? Espèce de fou alliés.
Le fou: Tu te prends pour qui petite imbécile.
Il ne l'avait pas remarqué mais il y avait une bouteille de bière par terre. Je m'en saisie et je lui donne des coups sur la tête, encore et encore. Jusqu'à ce qu'il ne tombe. Je suis prise d'une telle colère que je ne remarque même pas qu'il était inconscient. Je me relève avec beaucoup de difficulté. Je vais à la fenêtre j'ouvre le rideau et je vois Sy qui fait des 100 pas, il lève la tête en haut me voit il comprend tout de suite la situation c'est là que les coups de feu vont commencer.
Dans quoi tu t'est encore mises? La question que je me posais dans la tête.
Les coups de feu retentissaient dans tout le quartier. Et bientôt les habitants du quartier n'ont pas tarder à appeler la police. On devait partir. Je retire le couteau de mon ventre et je coupe les ficelles des autres femmes. La l'une des femmes me dira que son enfant est quelque part dans la maison. Le seul enfant que j'avais vu était dans la salle à manger cuisiné et épicé sur la table près à être consommer. Je ne lui ai rien dit jusqu'à ce qu'on arrive en bas. Là les cris de cette femme.
Femme:"Mon enfants, mon Dieu qu'est ce que vous avez fait à mon enfant?"
Je n'avais pas encore parler qu'elle est retournée en haut les yeux pleine de haine je la suit avec difficulté, je ne voulais pas les laisser seul là bas. Le fou était encore inconscient elle lui donnait des coups. SY finira par nous rejoindre. Nous devons quitter les lieux. La femme avait refuser alors je dis à SY de mettre le fou dans le capo de la voiture.
On pouvais entendre les sirènes de la police s'approcher, là je me souviens que j'avais oublier ma caméra dans la maison. Je cours la chercher, et je vois tous les DVD du fou. Ces vidéos dans lequel on voyait le fils du président commettre toute ces abomination. Je les est tous pris. C'est avec le fils du président dans notre capo que nous quittons les lieux. Le corps des gardes du corps de ce fou gisaient encore sur le sol. D'un coup tout est devenu noir.
Je m'étais évanouie....
Je me réveille tout doucement de ce sommeil. La douleur est insupportable je vois un monsieur en blanc qui parle avec SY.
Enfin revenue à moi j'ai essayer de me lever mais la douleur me pinçait les intestins. Le médecin présent était un ami de mon père. iL ne croyait pas que mon père pouvait avoir lui-même un enfant en me voyant dans cet état il fait des reproches à SY. Réveiller je me rends compte que SY ne lui avait pas dit comment je m'étais blessé. En voyant et a en déduire par SY ce dernier n'avait pas confiance en lui.
Après les soins le médecin s'en va et dès son départ SY m'aide à me mettre sur pied et nous quittons encore les lieux. C'est à ce moment que je me rends compte que nous n'étions pas à la maison. Apparemment SY ne voulait pas que ce médecin soit disant amis de mon père sache où j'habitais.
Une fois arrivées à la maison allonger dans le canapé pendant que je me tordais de douleur SY fit entrer le fou. Encore inconscient SY l'attache à une chaise dans le salon. La mère du petit garçon tuée était là aussi, il n'a pas été facile pour SY de l'empêcher de tuer son bourreau. Je ne savais pas quoi faire de ce fou. Son père est président qui va l'arrêter, il va continuer il fallait trouver une solution durable. Je n'avais pas trop le choix s'était la seule solution. J'ai décidé de le livrer au monde d'une manière générale son père lui aussi va devoir en payer le prix de son silence.
IL savait ce que sont fils faisait et pour cette raison il l'envoyait dans d'autres pays pour qu'il puisse vivre sa folie en toute liberté. Et puis à chaque fois que je voyais son visage je me souvenais de ce petit, de ce vieux qu'il avait battu avec l'aide de ces arabes. C'était clair il va devoir payer.
Je vais publier toute les vidéos sur internet. J'ouvre un faux compte sur Facebook sous le nom {Les Vrai Scandales} Et je balance toute les vidéos prises. Merde cet homme avait toute une collection de vidéos sur ces crimes et voyageait avec son album priver. Je n'ai jamais regardé les vidéos trop dégoûtantes.
J'ouvre le faux compte, 2 semaines plus tard le compte avait déjà assez d'amis. Une liste d'amis qui n'a pas été formée à la légère.
J'avais plein de journalistes locaux dans ma liste. Tout pour pouvoir faciliter le partage rapide des vidéos. Pendant que je me demandais comment j'allais partager la vidéo sans qu'on ne puisse retrouver ma trace. Je poste la vidéo d'un ambassadeur qui adorait des filles jusqu'au sang. Un jeune reporteur d'une chaîne de télévision locale me pose une petite question en commentaire qui va tout mettre en marche.
Reporteur: Tu t'appelle { Les vrais scandales} et je vois pas de publication sur ton mur, rien de Scandaleux.
Moi: Je suis une affaire en ce moment et demain j'aurai les preuves. Donc je suis obligé d'attendre avant de faire une publication quel qu'il soit.
Reporteur: Attends tu est journaliste?
Moi: Non pas du tout mais bon mon travail est tout comme. J'informe les gens à ma façon. Pourquoi?
Reporteur: Juste comme ça. Tu travailles sur quoi, si ma question ne gène pas?
Moi: Elle ne me gène pas, tu le sauras demain. iL serait mieux que tu ne sois pas en contact avec moi cela pourrait te créer des problèmes.
Un jeune autre journaliste d'une radio avait lu mon dernier commentaire. Cela l'avait rendu curieux. C'est ce journaliste radio qui va parler en premier de ma vidéo. Le lendemain vers 10h je me suis mise à publier les autres vidéos une à une l'une après l'autre. Dans les jours qui suivront on apprendra que l'un des opposants qui avait disparu depuis des années dont ce président disait ne pas savoir la cause de sa disparition faisait partis des nombreuses victimes de ce fou. Les gens à travers beaucoup de pays d'Afrique reconnaissaient des membres de leurs familles parmis les victimes de ce fou.
Bien sûr beaucoup de chefs d'état s'en lavaient les mains. Fotos, Videos en une seule journée le regard du monde étaient tournées sur mon compte. Quatre heures de temps plutard internet ne marchaient plus. Je croyais que mon compte à été bloqué par l'état. C'est seulement le lendemain matin que je me rends compte que le compte était toujours actif.
Les jeunes koweïtiens dans la vidéo du vieillard avait été identifié dans un bar en Afrique du Sud. Enlever ils on tous été retrouver mort exécuter d'une balle dans la tête. Et tout ce qui était dans les vidéos était très rechercher par dans leur pays respectif.
Et ce compte va devenir mon Ventil.
Les vidéos était sur le net mais mes douleur n'avais pas disparu pour autant. De l'autre côté le fou était chez moi, la mère du petit assassiner et les autres femmes étaient partis. SY à décidé de les ramener chez elles. J'étais seul à la maison avec ce Fou et je ne voulais pas prendre de risques j'étais pas en état de l'affronter.
J'étais celle qui devait décider de sa vie.
C'était évident que cet homme avait des problèmes psychologiques avec un très mauvais fond.
Enfermé dans une chambre avec une porte et des fenêtres fermées à double tours il ne faisait que m'insulter. La seule chose qu'il n'avait pas appart de l'eau c'était de la nourriture. SY le voulait l'affaiblir. Il mangeait trois fois par semaine. Et c'est mieux comme ça.
Deux jours plus tard SY rentre à la maison et avec en mains un poison il me le dépose sur la table. SY n'avais pas besoin de parler j'avais très vite compris ce qu'il a voulu dire mais moi je ne voulais pas voir cela. Je cuisine, je mélange le poison dans sa nourriture. Je le donne à SY et je monte dans ma chambre. Tout ce que je vois un peu de temps plutard c'est SY qui fait monter le corps du fou dans la voiture.
Le soir vers 20h SY et moi allons dans un coin assez reculer de la ville et nous jetons le corps du fou dans un buisson. Nous repartons aussitôt. Un problème de moins. Je décide alors d'aller en Europe pour me remettre sur pied. L'occasion de revoir ma mère.
***
Enfin en Europe je retrouve ma mère et Leïla. Mon Dieu ma mère et sa mère avaient changé. Je ne la reconnaissait pas Ces femmes avaient changé de la tête aux pieds j'avais trop mal au ventre je ne pouvais pas rire.
Maquillées jusqu'aux ongles elles étaient méconnaissables. L' argent change trop les gens, mais j'étais heureuse. Une seule chose que je regrettais c'était Rookya, j'aurais tout donné pour l'avoir à mes côtés, le destin en a voulu ainsi. Ma vie avait vraiment changé hier j'étais la fille qui pleurait sa misérable vie et sa tant aimer défunte petite sœur aujourd'hui je suis une assassin qui tue les gens. Je n'arrivais toujours pas à croire que j'avais froidement tué un être humain. Cela devait s'arrêter, je ne fais pas ce que je fais pour tuer mais pour dénoncer ces mauvaises personnes. Je ne comprenais pas pourquoi chacun de mes rendez-vous quelqu'un devait mourir. IL fallait me revoir et revoir mon tempérament c'était important.
Les semaines passaient et je m'habitue à ce rythme de vie Belge. Les cafés, les restaurants, les shoppings et le Luxe. Je perdais de jour en jour l'envie de retourner au pays. SY aussi avait un peu changé. Je le voyais avec sa femme et ces enfants heureux. Je décide alors de passer au moins 2 mois de plus en Belgique. Le temps de guérir une fois pour toute de ce coups de couteau reçu au ventre.
Plus les jours passaient et ma blessure guérissait de mieux en mieux. Un peu de changement d'air me faisait du bien. Le monde était moins difficile à supporter. J'avais la paix de l'âme et du cœur. Autour de moi tout semblait si calme et endormie que j'en oubliais mes Problèmes et mes Fautes.
A suivre....
