07. Froid et mystérieux
Lorsque j'étais sortie, je m'étais perdue six fois dans cette grande maison et me retrouvais toujours sur place. J'avais mis les mains aux hanches en calculant dans ma tête, si je n' étais pas entrain de rêver. Comment se faisait t'il que je retrouvais toujours au même endroit. J'avais besoin de guide et lui seul pouvait me sortir de là.
_ On se sent perdu? M'avait t'il questionné placé juste derrière moi.
J'avais sursaute brusquement et m'étais retourné pour le regarder. Il tenait sa fille dans ses bras. Lorsque nous étions arrivés chez lui, il était habillé en noir et le bébé en blanc.
Cinq minutes seulement que j'étais partie, il était habillé déjà en blanc de la tête jusqu'au pied et le bébé également. Ce soudain changement de vêtements m'avait effrayé d'autant plus que j'avais parcouru plusieurs entrées en voyant presque tous les murs couverts de cette même couleur blanche. Que dire des dieux grecs suspendu ses les murs.
Des dieux totalement nu ainsi que des déesses. Pourquoi avait il choisi de tel monuments pour sa maison? J'avais froid au dos à force de voir autant de nudité. J' avais alors commencé à me dire qu'il était certainement un psychopathe très dangereux...
Mon esprit tremblait de façon incontrolable en le voyant sur mon champs visuel. Sa chemise blanche était déboutonné, légèrement ouverte à un point que je pouvais voir sa belle poitrine lisse. Il y avait également un dessin d'oiseaux sur sa poitrine mais je ne pouvais le voir correctement.
La chemise le cachait mais je pouvais voir clairement ses ailes noires et la chaîne en croix suspendu autour de son cou balayait de temps en temps ses ailes. J'avais très peur et j'avais l'impression d'être dans un mauvais endroit !
_Où se trouve la porte de sortie? J'avais demandé la peur au dos.
_Vous n'allez nul part Mlle. Vous êtes ici pour un travail, travailler et je vous raccompagne.
_Quoi? Je m'étais exclamé nerveusement. Je veux m'en aller d'ici puisque j'ai refusé ce boulot. J'avais crié nerveusement.
Soudainement, la petite s'était mise à pleurer et à crier. Je fus submergée par ses larmes et ses cris aigus transperçant mon esprit. Il essayait de la calmer mais elle n'arrêtait pas de hurler.
_Tiens tenez là. Avait il dit.
J'avais tourné nerveusement la tête refusant de recevoir ce bébé. Il m'avait regardé silencieux.
_Vous tenez cet enfant oui ou non?
_Je ne suis pas responsable de votre fille monsieur ! Je refuse de la recevoir. Ce que je veux maintenant, c'est de rentrer chez moi.
J'avais répondu.
_Et moi je vous dis, vous restez ici ! Il avait hurlé; sa voix était remplie de fureur. Je n'ai pas besoin de savoir ce que vous voulez ou pas ! Vous êtes sous mes ordres et c'est moi qui a le dernier mot par ici mademoiselle ! Avait il ajouté en hurlant plus fort.
Jamais auparavant, personne ne m'avait crié dessus ainsi. J'étais scandalisé et paralysé par la peur. Qui était cet homme mystérieux et si autoritaire? Je pouvait me faire pipi dessus. Même sa fille avait arrêté de pleurer.
Il avait respiré un grand coup et c'était approché de moi encore plus près.
_Mlle Catherine, je vous ai engagé pour prendre soin de ma fille. Vous m'aviez suivi jusqu'ici; était- ce pour me demander de vous raccompagner aussitôt ?!
_Vous êtes ici pour travailler. Vous ne pouvez pas partir sans travailler. Je vous l'interdit.
Mon cœur battait rapidement alors que j'avais mon regard dans le sien trop intimidant. D'une voix plus calme, il m'avait dit en me donnant l'enfant:
_Tenez, recevez là maintenant. Allez faites le.
Lentement comme téléguidé, j'avais tendue mes bras. Il avait alors déposé délicatement la fillette entre mes paumes de mains.
_Regarde la. M'avait il ordonne. Elle a besoin de vous. Regardez, elle a arrêté de pleuré.
J'avais regardé la fillette dans mes bras. Elle avec encore les traces de larmes sur ses jolies joux rondes comme des tomates mais ses yeux brillaient alors qu'elle me regardait.
_Jouez avec elle. M'avait dit son père. Elle aime jouer avec vous.
J'avais regardé la petite. Je l'avais souris timidement en passant un bref regard sur son père. J' avais caressé ses joux puis j'avais placé mon auriculaire dans sa petite paume.
Elle l'avait saisie et s'était mise à jouer. Elle bavardait presqu' en me souriant. Son papa s'était alors mis derrière moi, il avait murmuré.
_Sentez vous la complicité qu'il ya entre vous?
J'avais souris sans répondre. Il m'avait caressé les cheveux et avait placé ses doigts sur mon cou. Il avait reposé sa question.
_Sentez vous la complicité qu'il ya entre vous ?!
_Oui. J'avais répondu en tremblant.
_ Bien, celà signifie que tu sais déjà qui tu es pour elle.
_Hmmm...Quoi, sa nourrice ?
_Non ! Tu es désormais sa maman.
_Moi, sa maman ?
_Oui ! Avait il grogné nerveusement. Celà signifie que tu ne peux l'abandonner Catherine. Tu ne peux l'abandonner. C'est ton bébé à présent d'accord !
_Monsieur, je ne comprends pas.
_ Et bien ! C'est simple.
_Um... Simple !?
_La nature la séparée de sa maman et voici mes prière ont été entendue par les dieux et ils t'ont envoyé pour elle..ils l'ont trouvé une nouvelle maman. Toi !! Avait-il répondu.
Sa réponse me donna froid au dos. J'avais des l(i)tres de larmes qui coulaient de mes paupières. Que disait il? Avait il perdu la tête?
J'étais encore vierge, je n'avais jamais connu le sexe mais comment se faisait t'il que sans passer par des étapes qu'il fallait, je sautais à devenir mère soudainement. Je voulais contesté mais il dit:
_Chuuuuu, accepte le. Accepte seulement sans fais de gros bruits inutiles car s'en vaudrait pas la peine.
_Mais monsieur...
_Chuuuu...j'ai dis accepte le. C'est votre destin.
_Mais, ne devrai-je pas dire quelque chose ?
_Ferme là ! Ne contredit pas les dieux d'accord ! Avait-il crié sauvagement me faisant sursauter sur place. Vous n'avez rien à dire Mlle.
_C'est comme je désire vous comprenez ? Et celà est un signe des dieux que vous soyez celle que ma fille a choisi d'aimer comme sa maman. Vous devez être fière !
La petite se met à pleurer. Calmement, il l'avait repris dans ses bras et cherchait à la faire taire.
_Non, non, non, ne pleure pas chérie. Ne pleure pas. Papa ne voulait pas te faire peur. C'est ta nouvelle maman que t'as choisi qui m'a mise or de moi.
J'avais regardé cet homme mystérieux et mes jambes étaient faibles. Je me demandais qui était il réellement et pourquoi était aussi mystérieux, sarcastique et grognon ?
Mon esprit m' avait pas cessé de m' alerter qu'il soit peut-être très dangereux. Je devais m'en aller de cet endroit. Alors qu'il essayait de calmer son bébé, j'avais commencé à prendre du recul.
_N'y pensé même pas. Sa voix avait retenti derrière moi. J'étais figé comme une statue mais j'avais ressemblé toute mes forces physiques et mon bon sens, j'avais couru par le seul allé que j'avais pas encore visiter.
Même s'il était plongé dans le noir, j'étais décidé à m'en aller très loin de cet endroit et ne plus jamais revenir.
***
