chapitre 6
15 juillet
Cela fait une semaine que je suis a New-York et ça se passe bien dehors, mais une fois chez moi c'est le cahots, ce Salop de brun amène chaque soir des putes pour baiser, leur putains de gémissements qu'ils font la nuit tardive me monte a la tête, je lui fait la remarque mais ce dernier s'en fiche et fait comme si s'était un fantôme qui lui adressait la parole. Je sais que mon cousin m'a conseiller de m'éloigner de lui et de m'en méfier mais ce jour la j'ai craqué.
Flash back
Je suis réveillée par des bruits agaçants, c'était des gémissements de meuf, elle se fait baiser ou décapiter celle là ? Parce-que on dirai qu'elle souffre au lieu d'avoir du plaisir. Je grogne et sort de mon lit encore endormie mais énervé. J'arrive devant sa porte, je frappe fort dessus, quelques seconde après avoir crier qui c'était et sans réponse de ma part il ouvre la porte et me dévisagea avec un sourire pervers sur les lèvres.
_qu'es que tu veux? Il dit en s'adossant sur la porte, j'aperçois derrière lui une brune toute nu qui attrapa d'un truc assez fine puis versa sur la commode d'à côté une poudre blanche elle le rassemble en un bloque grâce a ce truc fine, se penche dessus et aspire la poudre par le nez. QUOI Y'A UNE DROGUÉ SOUS MON TOIT !! Comme je suis brillante élève j'ai vite et beaucoup appris l'anglais avec Sarah elle venait chaque jour me donner des cours deux fois dans la journée j'arrive à comprendre un peu mais il reste quand même beaucoup de chose à apprendre, et SURTOUT travailler mon accent car je le trouve bidon, mais pour Sarah c'est mieux que je le garde car c'est sexy, elle est folle il y'a rien de sexy là de dans.
_t'as fini de la matter ? Il reprend en regardant derrière lui puis me dévisage de nouveau, quand a la pute là-bas elle ne nous calcule même pas.
_je essayer de vouloir de dormir, s'il vous plait! Je dit fier de moi, ah mes potes de Marseille devraient entendre ça ils seraient verte de jalousies BAM!!!
Ce dernier me regarde et explose de rire, non mais je rêve la !! Je lui demande gentiment de se la fermer et le mec se marre ? Il y'a quoi de hilarant dans ce que j'ai dit? Ou bien c'est mon accent qui le fait rire ?
_Quoi? Je demande vénère puis c'est la meuf qui s'y met. Le brun me regarde de haut en bas et souris
_je vois que tu essaye de parler anglais, mais c'est juste horrible! Et que dirai tu d'un plans à trois ? Il ajoute mais je ne comprend pas ce qu'il dit tant il parle vite avec un super accent, j'arrive pas à capter ses mots.
_eh le déchet de la nature là-bas qu'es qui te fait marrer? Je demande à cette pute qui fronce les sourcils puis éclate encore de rire, ce qui augmente ma colère.
_tu l'a dénicher ou celle là Ty? On dirai une mendiante ! Je ne vais pas pour se plan a trois. Elle dit tout en se marrant. Elle a les yeux rouge, elle n'a aucune pudeur, j'essaie de me maîtriser mais rien.
_c'est ma nouvelle colocataire, une vraie sauvage elle mord ne la provoque pas. Lui répond le brun, ça me vénère de ne rien piger de leur conversation, je reste la devant la porte face a ce PD qui je croyais préférer les mecs mais non. Les points serrée, les sourcil froncés, je bouillonne de colère.
_ouais je vois ça. Reprend la meuf
_allez barre toi, retourne te coucher et fiche nous la paix! Il dit en mimant ses paroles, je comprend qu'il veut que je leur fiche la paix.
_vouleye vous couwcher évec moua che sware? ( voulez vous coucher avec moi ce soir) tu connais cette chanson la French?Dit la pute avec son accent bidon, comment ose t_elle se moquer de moi? Le mec devant moi rie de nouveau jusqu'à se pilier en deux, je lui donne un coup de pied dans ses bijoux de famille, il portait un simple caleçon que je venait à peine de remarquer, il s'écarte de l'encadre de la porte en gémissant de douleur, la meuf me regarde choquée, j'entre dans la chambre la prend par les cheveux, je la tire jusqu'au salon toute nu.
_sale pute!! Je dit en continuent de la tirer, elle se débat mais je suis plus forte qu'elle, on sort de l'appartement,puisque l'ascenseur ne marche pas, je la traîne le long des escalier, elle hurle et pleur en disant des choses que je ne comprends pas, après des minutes de descentes on arrive dehors quelques passant nous regarde avec incompréhension mais passe quand même leur chemin, sûrement ils se disent que c'est un règlement de compte. Je la balance prêt des poubelles, je lui crache dessus, elle se lève pour m'attaquer je lui donne un coup de point à la mâchoire elle tombe telle une crêpe sur le sol dégueulasse du quartier. Je la laisse toute nu là-bas et remonte vers mon appartement, une fois arrivée je vois encore ce PD se tordre de douleur en grognant des insultes je crois, j'en profite pour entrer dans sa chambre, je récupère les affaires de cette pute et je les balance dehors par le balcon.
_ah t'as plus envie de rire la?? Je hurle depuis le balcon, quelques voisins hurlent depuis leur fenêtre sûrement pour se plaindre du bruits
_SILENCE!! J'entendais et autres choses, je vois de loin la pute se cacher la verge avec quelques habits, moi qui croyait qu'elle n'était pas pudique, elle arrête un taxi et monte de dans et disparaît, je me retourne pour aller dans la chambre au même moment ce PD me donne un coup de pied au ventre je crie de douleur, je tombe par terre en faisant semblant de pleurer, je veux qu'il ait pitié de moi et le faire culpabilisé pour au finale me moquer de lui.
_mais t'es quoi toi hein!! Il dit pendant que je forçait le rythme de mes larmes en utilisant la douleur que je ressent
_vas te faire foutre! Il ajoute, je le regarde avec tristesse il s'apprêtait à me cogner une nouvelle fois mais se retient puis se casse dans sa chambre. Dès qu'il referme la porte j'explose de rire, je me lève avec difficulté et rejoins ma chambre.
Fin Flash back
Je suis dans mon atelier, heureusement qu'il y'a une vue sur le balcon magnifique, Sarah viens à peine de partir après m'avoir donné un cour d'anglais et invité demain a sortir, elle revient l'après midi, j'entends les bruits de klaxon dont je me suis habituée au fur et a mesure, il y'a des pigeons qui viennent de se déposer sur le mûr du balcon près de moi, je commence par appliquer des couleurs sur mon tableau, ce paysage est juste fantastique, des gras de ciel qui s'affiche a ma vu, des ordures tout près en bas de mon immeubles, des enfants qui courent, des latinos qui vaquent à leurs occupations, j'en ai même fait la connaissance de monsieur Fernández, puisque je parle bien espagnol vu que je suis d'origine mexicaine, on peut dire que je suis latino aussi. Quand je me mets à peindre je deviens quelqu'un d'autre, l'inspiration me plonge dans un monde nouveau et plus rien ne compte autour de moi, je dégouline un peu de sueurs car c'est l'été il fait un peu chaud mais en France c'est pire donc je peux supporter. Je me penche plus pour mieux appliquer la peinture ainsi obtenir ce que je veux, quelques mèches de mes cheveux coiffée en chignon s'échappent et se collent un peu partout sur mon visage et mon cou.
_magnifique ! J'entends derrière moi et là une vague de chaleur me parcours le corps car énervé. Je me retourne et vois ce PD qui je précise lui avais_je interdit de pénétrer dans mon atelier sans ma permission.
_toi...qu'es ce..que toi viens ici? Je lui demande les mains sur les hanches énervée, pour qui il se prend ? Et comment ose t_il?
_je t'ai entendus avec Sarah, méfie toi d'elle et surtout ne part pas à ces soirées débiles ! Il ajoute en s'adossant sur l'encadre de la porte.
_tu parler doucement!! toi pitaingue. Je lâche quand je me fâche mon accent Marseillais déborde un peu, j'ai mit des années pour le chasser, car j'ai été a Paris pendant quatre ans vivre avec ma grand-mère, mes camarades de classe se sont tout le temps moqué de moi et je me suis dit plus jamais.
_je ne serais pas là a te redire encore ce que je t'ai dit essaye de capter un peu.
_qu'es ce que tu faire ici? Moi_avait_interdit_toi_tu_entre_ici!! Je lui explique désespéré en mimant mes paroles.
_toi aussi tu as enfreint les règles, je te rappelle que je t'avais interdit d'enter dans ma chambre mais tu l'a fait, et en plus tu as jeté a poil ma copine dehors. Il ajoute en mimant aussi ses paroles, il me reproche encore ce qui s'est passé avec sa pute, elle l'a mérité cette salope.
_je m'en fou! Maintenant toi sortir!! J'ajoute en me dirigeant vers lui le repousse fort et ferme la porte.
